Finir de finir

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Ce soulagement du “yapuka”.  Puka synthétiser 2 h 30 de bande, 1500 pages de bibliographie, prosélyte ou pas, me permettant de mieux comprendre les propos recueillis, des heures de reportage ou vidéos de concerts et masterclass youtubiques à visionner, des dizaines de photographies à classer-sélectionner-retoucher et un DVD offert par l’interviouvé à regarder. Tout en finissant, toujours, de lire un livre pour le ficher ; tout en finissant, toujours, de relire un livre de 700 000 signes avant composition ; tout en finissant, toujours, de traduire trente histoires, chroniquer quatre disques, jouer quelques convois, préparer un autre entretien, répéter un concert de musique contemporaine, finaliser un projet de fiction pour un séminaire de formation managériale, d’anticiper la suite du festival d’orgue et d’échafauder les projets indispensables si pas mort d’ici la prochaine inspiration.
P’t-être j’aurais dû rester malade. Pas très, très malade, c’est escagassant, mais genre juste assez pour faire genre style. Chais pas, une intuition, comme ça.