Tristan et Isolde enflamment Paris

Les apparences : une pure arnaque, c’est connu. Sur cette photo de Josée Novicz, on voit, deux heures et demie plus tard, l’arrière-scène désertée par le choeur de mâles depuis la fin du premier acte. En fait, la salle Pleyel était pleine et bien tassée, et jusqu’au bout encore, pour assister aux quatre heures du…