Jann Halexander, “À nos tendresses : Pauline Julien”, rue Marc Seguin, 31 janvier 2018

Il faut toujours se méfier des adieux, leurs “jamais” vibrent souvent d’un “peut-être” comme le stipule parfois Joaquín Sabina en introduction de “Nos sobrán los motivos ». Un exemple ? Après un “dernier concert parisien », suivi de quelques autres, Jann Halexander revient à Paris pour préparer, dans l’intimité d’un concert privé, un nouveau projet autour de…