Enfin de retour (2/3)

Trois livres. Trois batailles. Trois propositions aux lecteurs. À continuer par le second tome du Secret du coquillage, écrit par une romancière croato-italo-anglo-néerlando-cosmopolite, complètement foldingo-poético-inventivo-plumitive. (“– Et si on n’a pas lu le premier tome ? / – Tranquille, tout va bien, rendez-vous ici, ça vaut la peine et quatorze euros.”)

Boulot, bout l’eau

Oui, j’allai dans un café, c’est vrai, mais pour le travail, voyons ! En l’espèce, préparer le lancement (le 16 mars) du prochain livre de Nataly Adrian, un auteur du Label Libertad. Alors, professionnel ou pas ?

Nataly Adrian réchauffe le livre pour la jeunesse

Même si RTL découvre fin 2016 le Prince de Motordu (créé en 1980) et Le Journal d’un dégonflé (offfficiellement vendu à 165 millions d’exemplaires), la radio met aussi un focusss sur le premier tome du Secret du coquillage by Nataly Adrian, chez Label Libertad. Très bon choix, celui-ci, que l’on peut acquisitionner promptement ici car “c’est…

Et toc

Puisqu’un goujat tenta de transformer le présent endroit en site de cul, j’ai griffonné une chanson afin de ne pas décevoir ceux qui viendraient ici en espérant que tout est resté en l’état.

Non négatif

Dans un livre pour la jeunesse, pour accorder “cela ne m’était jamais arrivé” avec “à ce que je sache”, il est hors de question de mettre, dans ce cas précis, un subjonctif imparfait. Mieux vaut ruser. (Déjà, un personnage qui s’appelle plus ou moins Anus, bon…)

Passion

L’auteur que je traduis m’annonce : “Écoute, pour une fois, ce que je raconte va vraiment t’intéresser. / – Il s’agit d’une copulation de reptiles ? / – Oui.” Dont tact.

Tenir bon le bar

Ma copse l’auteur Nataly Adrian m’annonce qu’elle vient de découvrir un bar avec cette vue. Du coup, c’est décidé, je vais à Cracovie dès aujourd’hui. Non mais ! (Je dois être trop émotif : moi, quand on me prend par les sentiments…)

Ne soyez jamais auteur, jamais

Je travaille sur un projet de collection. Malheureusement, l’auteur vedette pressenti vient de m’envoyer ses photos de vacances. Tellement peu professionnel !