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PPJ’ai toujours pensé qu’une communication orale devait rester dans son cadre oral et son contexte spécifique, c’est même l’intérêt d’y assister – quitte à prolonger ce moment ponctuel par un article plus adapté à une diffusion moins restreinte. Quand je vais parler dans un colloque, j’essaye de créer une communication spécifique – même si elle reprend des “obsessions de recherche”, bien sûr – et de la lier aux autres propositions des collègues. Donc une communication se comprend et s’apprécie, si tout va bien, in situ. Toutefois, comme je ne suis pas une contradiction près, j’ai sans doute signé une autorisation de diffusion de celle-ci.
Par prudence, je préfère ne pas regarder le résultat en entier (juste assez pour voir que les slides Power Point ont été insérées dans la vidéo de façon brillante mais parfois tardive et toujours statique, ce qui donne au début l’impression que je renvoie les auditeurs à une diapo sans rapport avec mon propos : d’où l’intérêt de ne jamais signer une autorisation de diffusion sans avoir vu au préalable le résultat, pan sur mes doigts). Ce nonobstant, si des curieux veulent suivre mon enquête sur le blondinet le plus rentable de la littérature française, ça se passe ci-d’sous !