Good vibes

Entre costume et jeans, chansons et coquecigrues, c’était bien, c’était chouette, au Magique, ce 18 septembre. On a graffité des exemplaires de L’Homme qui jouait de l’orgue devant Georges Brassens en partageant des facéties… … et, enveloppé dans l’écharpe de François Marzynski qui n’avait qu’à la récupérer avant, j’ai fait un quasi selfie avec Jann…

Franco fun

Tiens, ce samedi, on parle français : à 10 h 30, deuxième atelier d’écriture en Mayenne, sur le thème “Travail et oisiveté” ; à 17 h, dédicace à la Librairie Pages après pages (rue des Dames / 75017) pour l’édition 2013 de Grodico (éditions de l’Œuvre). Vroum !

Les dédicaces, c’est parti !

Souvenirs, signés Josée Novicz, de la première dédicace, chez Thierry Welschinger (“Mes accords mets et vins” / 10, rue Bridaine / 75017) de Grodico… et des Mémoires d’une femme de ménage, version poche ! Y avait des verres, oui. Mais aussi d’autres outils de travail. Parmi lesquels des livres, par ma foi, admettons-le : des…

Ce que dit une photo

“Mon Dieu, préservez-moi des manuscrits et des auteurs. Ceux qui veulent publier. Ceux qui veulent encore publier. Ceux qui ont déjà leur trilogie de huit tomes toute prête. En plus, si vous êtes vraiment fort, trouvez-moi un travail épanouissant, un canapé Chesterfield et des tonnes de lecteurs. Soyez cool. Pardon, I meant amen.”

Dédicace dominicale et parisienne

Aujourd’hui, je dédicace L’Homme qui n’avait pas de chat (édité sous une très belle forme parallélépipédique quasi veloutée chez Lunatique) au Salon des éditeurs indépendants (48, rue Vieille-du-Temple / 75004 / M° : Hôtel de Ville). RDV entre 14 et 17 heures. Entrée “libre et gratuite”. Rens. ici. Vous y entrapercevoir serait un moment pouce…

Le Parisien n’a toujours pas de chat

Dimanche, je serai Parisien et indépendant, afin de dédicacer au Salon de 14 à 17 h. Rens. via Feillecebouc : ici. Si vous n’avez pas encore acquisitionné mon roman finement intitulé L’Homme qui n’avait pas de chat pour décorer vos muséothèques, c’est sans doute le moment. (Normalement, on ajoute “ou jamais”, comme dans “c’est le moment ou jamais”,…

Comment s’appelle l’arbre où pousse l’ananas ?

L’avantage des dédicaces interactives, c’est qu’elles permettent de savoir si on est vraiment lu par des ananas. Et quand on voit que tel est bien le cas, on se sent résolument fermenté, avec des notes minérales bien charpentées qui tirent vers le fruit.