Île fauchée (ou Nantes)

Quand il fait chaud, en août, parfois, je fais des compotes. C’est peut-être pour ça qu’il fait chaud. Pas d’inquiétude : animé par une curiosité toute scientifique, je vais bientôt arrêter afin de vérifier s’il y a vraiment un lien. Vous m’en direz des nouvelles.

Stupéfiant

– Mais non, monsieur le préposé à la maréchaussée, je n’ai pas trahi le Porto et les gambas, voyons ! Simplement, j’en étais au dessert. Alors, oui, je l’avoue, j’ai pensé qu’un frouitoudeuh, ça passerait. – Un frouitoudeuh ? Arrête tes conneries. Y en a beaucoup, là. Quatre prunes, trois abricots, huit cerises… T’as les…