Une belle photo…

… peut-être même la plus belle photo du moment, vue sur un mur Facebook. Et, pour une fois, pas le mien. Vous aussi, composez un des plus beaux clichés du moment en piochant ici !

Anywhere in the world

Merci aux foufous qui grignotent L’Homme qui jouait de l’orgue depuis les fjords scandinaves jusqu’au hamac de leur jardin. En cliquant ici, rejoignez leur mouvement afin de profiter au mieux de vos vacances. Quoi que…

Oui positif

Après, on n’est pas obligé de croire le compositeur et tout autant l’organiste Serge Ollive. Ni Jean-Alain Ripoche, le zozo qui se bat pour restaurer l’orgue d’Étel. Ni François Espinasse. C’est pas comme si c’était l’organiste de Saint-Séverin. Nan, en fait, on n’est pas obligé de lire L’Homme qui jouait de l’orgue. Mais ce serait…

Seurfeur des ondes

Parfois, L’Homme qui jouait de l’orgue seurfe sur les ondes. Pas forcément les plus notables, pas forcément les mieux préparées, mais prouvant que, même après sa sortie, le livre n’est pas mort, na.

L’homme joue toujours de l’orgue

Les organistes Serge Schoonbroodt et Mark Steffens m’ont invité à conclure leur grande émission sur l’orgue en dialoguant joyeusement autour du livre et des organissses. Voilà l’travail, et le lien pour acheter ou racheter le livre, parce qu’il faut bien vivre parfois (j’en entrevois la nécessité). Attention : les deux hurluberlus ont choisi de conclure…

Rendez-vous à l’église des Sables

Ce vendredi, 20 h, récital d’orgue à l’église des Sables-d’Olonne avec Emmanuel Quiquemelle. Samedi, 10 h, masterclass d’improvisation avec les élèves d’orgue du conservatoire. Samedi, 15 h, rencontre-dédicace à la toute nouvelle médiathèque, animée par Nadia Bellenger, autour de L’Homme qui jouait de l’orgue (Max Milo). Les vedettes de l’orgue que je reluque sur Facebook…

Un abécédaire d’organiste liturgique

Supplément illustré à L’Homme qui jouait de l’orgue (Max Milo, 2015)   A comme attente     Quand l’organiste est de ceux qui jouent loin de chez eux, matin et après-midi, il lui faut parfois transformer sa « tribune » en cantine. Et attendre que le temps s’accélère. (Noter l’absence de couvert, qui va bientôt susciter l’auto-colère…

Un peu d’orgue, mais avec courtoisie !

Invité à Radio-Courtoisie par Vincent Beurtheret et Annette Ventana, pour y parler de L’Homme qui jouait de l’orgue. Par ma foi, qu’importent inepties et maladresses, on fait c’qu’on peut avec c’qu’on a, ma brave dame… Première partie (12′) : devenir organiste Deuxième partie (19′) : exercer comme organiste Troisième partie (21′) : survivre comme organiste

C’est walide

Dans le n°310 de Musique sacrée, l’organiste, mon ex-N+1 dit du bien de L’Homme qui jouait de l’orgue. Dont l’on peut toujours acquisitionner quelques exemplaires, par ex. ici, soit stipulé fortuitement.

L’orgue est dans le Robert

Pierre-Michel Robert a lu L’Homme qui jouait de l’orgue. C’est foufou, mais il en dit très personnellement du bien, et c’est dans lavie.fr.

J’étais à (Radio) Notre-Dame

Et pour les gourmands férus de mp3, voici le podcast de l’entretien mené par Juliette Loiseau sur Radio Notre Dame, à propos de L’Homme qui jouait de l’orgue…

Connais-moi toi-même

Ce qui est bien, avec les entretiens retranscrits par la presse, c’est que l’on apprend plein de choses sur soi. Mais comme le ton est bienveillant et puisque faire un article sur un organiste, c’est un beau geste, alléluia voire deo gratias !

Le mois de Notre Dame

Après Le Parisien, deuxième interview pour L’Homme qui jouait de l’orgue, grâce aux bons soins de Juliette Loiseau. C’était sympa, même si causer peu et bien est pas tout à fait ma spécialité… Diffusion à venir, sûrement au cours de la semaine du 7 septembre.

L’homme qui signait des orgues

“Découvrez l’incroyable métier… d’organiste liturgique ! Bertrand Ferrier est un musicien pas comme les autres (…). Il raconte son métier d’organiste liturgique dans un livre savoureux qui vient de paraître. (…) C’est drôle. Très drôle, même. Et plein de tendresse.” (Florence Deguen, Le Parisien, 13 septembre 2015) “C’est drôle, cocasse et décalé, entre Six Feet…

Sécurité, sécurité

Quand la V1 de ton manuscrit est terminée et que tu te demandes ce que tu dois, d’honneur, couper, comment être sûr de toi ? Normalement, pour être sûr de soi, on fait pousser du persil, on n’écrit pas. Sauf si on dispose d’une encre de sssécurité. Je sais pas bien ce que c’est (curité),…