Deux paysages en solo

  Jouer une sonatine pour clarinette au saxophone : et pourquoi pas ? Cette pièce pas taillée pour son instrument, Dmitri Ouvaroff l’habite pour traduire – c’est le défi du concert – une partie de ses vastes steppes intérieures. Profitez bien du guide !    

Quand le sable file entre nos doigts

    Est-ce de là que tu repars, où tu reviens chaque fois ? Après Jean-Jacques G., Claudio Z. semble nous parler de nous en nous racontant son paysage intérieur – thème du concert du festival Komm, Bach! dont est extraite cette vidéo. Bonne promenade dans nos jardins plus ou moins secrets tels que les…

Dans le mystère suspendu

  Que les amateurs d’un piano exubérant veuillent bien chercher leurs pains quotidiens ailleurs. Aujourd’hui, les petits marteaux vont offrir des pointillés aux auditeurs, mélomanes ou curieux, grâce à cet extrait choisi du concert Komm, Bach! précisément nommé Paysages intérieurs. Grâce et mystère nous accompagnent !    

Chantons hautement, je vous prie

  Et si l’on se réjouissait de réunir une clarinette et un orchestre à cordes avec un saxo et un orgue ? Bienvenue dans une pièce superbe, supérieurement transcrite et interprétée par les plus Parisiens des musiciens russes, sous la houlette et les micros de Mme Inna Ouvaroff en personne.    

Lumière !

  Ce n’était pas prévu d’enregistrer cette pièce. Mais il y avait le temps, l’orgue et un formidable musicien qui en voulait encore. C’est ainsi que s’est construit le concert YouTube des Splendeurs de la catastrophe : on ouvre sur les Ténèbres, symbole des catastrophes ; on clôture sur la Résurrection, splendeur de la catastrophe…

Y a d’la joie : les artistes

  Pour le dernier concert de sa quatrième saison – rendez-vous ce soir à 20 h 30 précisément ici – et peut-être dernier concert YouTube, le festival Komm, Bach! s’enjaille en osant une thématique à contre-courant de la morne morosité ambiante. Une demi-douzaine d’artistes ont été convoqués pour nous rappeler que, malgré tout, malgré nous…

Dans le mouv’

  Magnifique cadeau offert au festival Komm, Bach! par le quatuor Akos, feat. Alexis Gomez, Aya Murakami, Théo Delianne et Cyrielle Golin : un bout de quatuor abandonné là par Franz Schubert. Alors que nous nous préparons à déguster le dernier concert de la saison, retour sur un des beaux moments de l’histoire du plus…

La petite blague du jour

  L’homo comicus a mauvaise presse. L’homme qui rigole, ça va, merci. Voici donc la chanson d’un homme qui rigole, in a way, propulsée pour le festival Komm, Bach! par l’un des chanteurs sempervirens que nous estimons le plus.    

Retrouvailles

  Le plaisir de la mélancolie russe sous les doigts de Jasmina Kulaglich – ou la joie de retrouver une artiste du festival Komm, Bach!, même si c’est pour évoquer une séparation…    

Toccata tacatac

  Vous prendrez bien un peu de musique qui ravive les couleurs des alentours ? Feuilletant les splendeurs des catastrophes musicales pour les besoins du récital, Vincent Crosnier a justement quelque chose d’idoine pour la circonstance…    

Sous-rions

Tu connais ce moment, oh, tu connais ce moment où, quand tu enregistres, alors que ce sera reproduit sans patch, id est comme en concert, la prise est plutôt correcte jusque-là, et tu ripes à une mesure de la fin. Ce semi-sourire dit “aux lèvres mordues” n’est rien moins qu’une promesse de suicide pour échapper…

Racontez-moi une autre histoire : les compositeurs (2)

  Après le succès du concert de ce samedi 6 juin, le festival Komm, Bach! a exigé de ses artistes qu’ils remettent le couvert… dès ce dimanche, à 16 h. Le thème du week-end n’était-il pas : “Racontez-moi une autre histoire (ou deux) ?” On prend donc presque les mêmes artistes (un organiste, un altiste,…

Racontez-moi une autre histoire : les compositeurs (1)

  Ce samedi 6 juin, à 20 h 30, quatre-vingt-quatrième concert du festival Komm, Bach!, le premier d’un diptyque dont le thème est : Racontez-moi une autre histoire (au moins). Après avoir évoqué les artistes invités,  il est temps d’évoquer les compositeurs. Au programme : Arlen, Bach, Beethoven, Borodine, Brel, Debussy, Dubois, Saint-Saëns, Scarlatti et…

Racontez-moi une autre histoire : les artistes

  Le projet est désormais connu : nous avons voulu solliciter des artistes pour qu’ils nous racontent une autre histoire (au moins). Il y aura donc deux concerts. Un samedi, à 20 h 30, et un dimanche, à 16 h (cliquez sur les liens pour assister à la première diffusion en direct, en présence digitale…

Tout en finesse

  Les amateurs de bruit détesteront ce post. Les autres dévoreront la double dentelle proposée en pièce jointe par Jean-Luc Thellin, organiste et claveciniste capable de jouer, et bien, tout ce que Bach a écrit pour deux ou quatre pattounes. Voilà le cadeau qu’il avait réservé pour le concert confiné des Splendeurs de la catastrophe….

En fanfare

  Une des premières pièces et une des œuvres les plus spectaculaires d’un compositeur soviétique plus tard vilipendé pour son omnipotence malsaine : voilà à quoi Jasmina Kulaglich s’attaque avec la virtuosité et l’énergie indispensables. Accrochez vos oreilles avant d’appuyer sur “Play”, puis bonne écoute !    

Tout simplement

  Enregistré dans les conditions du direct, dans une version pour orgue à deux mains et deux pieds, l’un des sommets in-finis de la fugue selon Bach, avec un chouchou de Jean Guillou (qui taquinait itou son Johann Sebastian)  à l’orgue de Saint-André de l’Europe. Please, enjoy.    

In memoriam

  Extrait des Splendeurs de la catastrophe, voici un cadeau de la plus Française des pianistes serbes, souvenance de l’album Naxos où elle grava cette pièce en première mondiale…    

Et splash

  – Mais vous n’avez pas invité ces diables de gratteux sans éducation dans un festival de musique savante ? – Ach, nein, mildiou. Juste des chanteurs de classe. Parmi ceux que l’on se dit : si des gens comme ça ils existent, peut-être ça vaut la peine que l’on continue à faire semblant d’exister…

Racontez moi une autre histoire (au moins) : l’événement

  Et bim,on se préparait pour un concert événement. On a trouvé que ça faisait un peu peu, si si. Alors, on a pensé que deux concerts, ce serait plus et sans doute mieux pour se raconter une autre histoire. Sous prétexte que l’homme est un animal dépendant aux histoires. Qu’il aime se retourner vers…