Ce moment juste avant

  Armé du sax de Pierre-Marie Bonafos et de la confiance de la titulaire Véra Nikitine, on allait commencer le voyage, entre le piano, l’orgue, la résonance de l’église Saint-Marcel et les contrées luxuriantes du répertoire de Pat Metheny et de Lyle Mays. On a jeté un dernier regard sur l’installation et on a dit…

À la carte des mondes

  Ce dimanche, à 16 h pétaradantes, concert sax – piano – orgue en l’église Saint-Marcel (Paris 13) autour du répertoire de Pat Metheny et Lyle Mays. Demandez l’programme !   I. Le concept A. Pat Metheny Quasi indissociable de feu le claviériste Lyle Mays, Pat Metheny est actuellement le plus grand guitariste et compositeur…

Cartographie des possibles

  Avec A map of our world, l’auditeur est invité à un voyage dans quelques contrées hautes en couleur défrichées par Pat Metheny et Lyle Mays. Harmonisation fascinante, variété des rythmes, intuition de la mélodie catchy, art de la surprise, profondeur du répertoire, plaisir de l’improvisation seront revisités à l’église Saint-Marcel (Paris 13), le dimanche…

Un dernier rail

  Nous étions le clafoutis, il était la griotte ou le griot, va savoir : Jack Good est venu poser des sons avant et pendant notre exploration d’un des plus beaux thèmes de Pat Metheny. Avec son synthétiseur sans touche mais saturé de taraïettes, comme dirait Béatrice Tekielski, il a sondé à la fois les…

La vie côté soleil

  … et pour tout ce qui est ennuyeux, introspection méditative, corset mental, taedium vitae et autres douleurs de vivre, on y viendra, sans doute, mais, pour le moment, adressez-vous à la concurrence !      

Une carte du monde

  En 2000, pour sa première bande originale, Pat Metheny claque une partition où son intuition mélodique, sa science harmonique et l’expressivité de ses atmosphères sonores saisissent. Voici notre version du thème principal, arrangé pour orgue et saxophone d’après un original pour guitare et orchestre symphonique.      

Une brève encyclopédie

  Ce serait le swing tranquille d’un monde où, à chaque question (intéressante), ferait écho une réponse (satisfaisante). Une sorte de berceuse apaisée où résonneraient encore les chamades de nos étés les plus savoureux. En attendant, c’est un thème de Pat Metheny que déploie le sax inventif de Pierre-Marie Bonafos. Un apéritif tonique avant la…

Beauté de la confiance agricole

  Que tous les nostalgiques du slow et, accessoirement, les gourmands d’un jazz mélodieux et apaisant soient les bienvenus : ce nouvel extrait de A map of our world, autour du répertoire de Pat Metheny et Lyle Mays, est pour eux !    

Il s’appelait Randolph…

  … either Ornette. Pas étonnant que le saxophoniste Pierre-Marie Bonafos soit allé chercher, dans le répertoire du claviériste Lyle Mays, cet hommage au saxophoniste Ornette Coleman, ici sublimé pour le souffle par la capacité du zozo à créer de façon tonique, inventive et sachant associer l’impulsivité de l’inspiration à la science de l’architecture musicale….

Vous avez un nouveau courrier

  “Lettres d’ami, courriers d’amour se font de plus en plus rares” chantait naguère Jacques Serizier. Voici pourtant la transcription – notre transcription – d’une épistole que Pat Metheny envoya aux Terriens en 1991.    

Y aller ensemble

  Les volutes du sax s’élèvent au-dessus d’un orgue obstiné qui vient fricoter avec la mélodie avant de reprendre sa place : bienvenue dans une relecture de “Are you going with me?” que n’avaient sans doute pas prévue Pat Metheny et Lyle Mays, ses compositeurs !      

C’est partir qu’est pas rin

  C’est pas dur d’aller loin, c’est partir qu’est pas rin   chantait Allain Leprest. N’empêche, je suis fier, euphémisme, d’avoir embarqué avec Pierre-Marie Bonafos pour une aventure commencée avec des concerts tout classiques, tout mignons, un peu réduits en regard de son espérance parce que je n’ai pas la dextérité redoutable d’Alexandra Bruet, son…

Pat, Lyle et nous

  Seconde représentation du récital “Pat Metheny” avec Jacques Bon aux machines. Sinon, doit y avoir du Jauni au bar du coin, hein. Pas forcément une autre ambiance mais, forcément, un autre style. Enfin, j’espère.