Quatorze ans, le bel âge
– J’suis vieux… mais j’suis mignon, quand même, hein ?
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– J’suis vieux… mais j’suis mignon, quand même, hein ?
… c’est celui qui m’anime à chaque fois que je vais ploum-ploumer à Saint-André de l’Europe et que je fais mon possible pour croiser Peppone dit “la panthère noire”, maître de céans.
Tu connais ce moment, oh, tu connais ce moment où la soirée se termine, tu es fort las, mais ton pote est toujours à fond.
À l’occasion d’une célébration, Peppone, chat de M. le curé et panthère chargée de ma sécurité quand je vais remplir ses bols d’eau, est venu me rendre visite à la tribune, près d’une des caisses de matériel réservée au festival Komm, Bach!, actuellement suspendu. La photo est bof, mais le moment était chouette, donc…
Aujourd’hui, un lapin est sorti du chapeau d’une cordonnerie du huitième arrondissement, quand je revenais du travail pour repartir vers un autre travail. C’était bien, c’était chouette. Encore un peu, on se serait cru chez Laurette.
On our way to recording “À tout hasard” (1/2). Feat. Djeepsy and a Découpe Source Four Zoom. Concert bientôt disponible ici et là.
Depuis mai 2018, il avait peu ou prou disparu. Voici que Peppone, le chat du curé, profite des nouveaux aménagements pour réintégrer les coulisses de l’église Saint-André de l’Europe. Youpi.
– … et vous en avez pas marre d’exploiter votre animal pour animer (tu sens-tu l’humoristique ?) votre blog ? / – Hostie, non, j’m’en sacre de ton avis qui r’semble à d’la sloche. D’autres questions ?
… il s’agirait d’un chien. Sous toutes réserves, évidemment. Ne jamais négliger la possibilité du poulpe, qui expliquerait, sans doute, beaucoup de choses.
Je ne rentabilise pas M. Chien. Ou si peu, pensez. Mémé tavi que Pascal Nègre ne validerait pas le plan de retour sur investissement.
… donc une question : quand une brebis pas perdue rencontre une brebis égarée, la brebis retrouvée peut-elle se perdre sur le chemin du retour, ou est-ce que, franchement, elle abuserait ?
Adieu l’homme-oiseau de Jacques Higelin, bienvenue à mon chien-poisson. L’affaire ne souffre plus discussion, il me semble.
Les répétitions pour le récital de Pézenas s’intensifient. Certain y veille du coin de l’œil.
Hey, Big Brother, I know you’re watching me!
… une vieille carne, à la fin d’une célébration, vient me dire que j’ai joué trop fort, ou trop dissonant. Ou quand on m’explique que je me suis “éclaté” parce que, pour une fois, j’ai plutôt joué de la musique à l’offertoire que ploum-ploumé un chiant des sectes charismatiques. Ou quand la responsable d’une…
– Et alors, ce concert sauvage et secret du dimanche, c’était bien ? – Carrément ! Dans la chambre qui nous servait de loges, y avait un wazo. – Un ? – Un wazo. Il s’appelait Boubou et il avait l’air super sympa. – Nous n’avons pas d’autre question, Votre Honneur.
– T’as sorti M. Chien ? – C’est pukonpiké xa. Je voulais, mais j’ai eu l’impression que lui, moins. – Genre.
Ou mon chien fume, ou il a une séance d’ostéo animalier, ou les deux. Dans les trois cas, ça semble super impactant. Ensemble, restons relâchés.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !