Clarika avait raison…
… j’étais mieux avant, pavé ?
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Ce mardi 30 avril, près de l’Opéra Garnier, se déroule le troisième épisode du projet “Nouvelle tétralogie ». Aujourd’hui sont prévues des chansons amoureuses. Selon l’expression de l’expert Céline, venez vivre l’infini à la portée des caniches que nous sommes. C’est vrai que, déjà du temps de Je m’appelle Firmin, l’amour était une préoccupation infinie pour…
… tout le monde, même moi. Voici donc ma nouvelle photographie d’art intitulée “Murmure des bains de sang” (casserole et mûres des Batignolles). En prime, le mégahit qui a lancé la carrière météoritique, portée par une espèce de vérité, du trio Je m’appelle Firmin. Voici donc “X (Tout le monde fait l’amour)” (Paroles : Bertrand…
Après l’annulation de mon dernier concert de chansons, j’ai décidé d’écrire douze nouvelles chansons pour non-fêter ça. Donc des chansons différentes de mes ritournelles habituelles, ben parce que. C’est fait, j’ai mon petit paquet de douze. Façon première partie, j’en chanterai 35′ le 16 décembre, à 22 h fulminantes, au Petit Théâtre du Bonheur de…
… mais ça, c’était avant. Après, il y eut le concert, avec son supaherbeuh peurogramme dispeuhonible céans, et propulsé le 21 juin avec Jacques Bon aux basses et au hautbois… … la preuve 1 ici… Prologue (41’’) « Ma bible » (Bernard Joyet), extrait 1 (1’35) « La religion » (Jacques Debronckart, 4’25) « Le…
En attendant les vidéos, quelques essstraits audio du concert propulsé dans ce bar – salle de spectacle. Voici donc un best of le concert… En gros. Ce qui n’exclut point un peu d’Élégance… … ni de tenter des inédits, jadis écrits pour Je m’appelle Firmin et jamais mis en chantier musical à l’époque. Du coup, C’est la…
Tantôt, j’étais de retour au Clin’s 20, après des siècles d’absence, pour fredonner des chansons “au pied levé” et à la main légère, suite à deux défections – ce n’est pas un gros mot. Histoire de fêter ce retour sans retard, voici l’intégrale du concert, avec un peu de peinture fraîche qui goutte çà et…
Sans dramatiser, Jann Halexander présentait son concert du 9 novembre comme son “dernier concert parisien avant nouvelle vie”. Comme c’était le jour de l’élection de Donald Trump, et que cette nouvelle révulsait le public rassemblé autour du chanteur-performeur-réalisateur-écrivain, j’ai opté pour “American Movie », une chanson so american, dont Damien Fewwiew avait écwit la miouzik du…
Claudio Zaretti, le meilleur feel-good singer que je connaisse, m’a invité à revenir Chez Adel. J’y avais pouët-pouëté jadis – un souvenir mitigé, souple euphémisme, quand on y avait chanté avec Je m’appelle Firmin, alors qu’on lui avait écrit un hit, quand même. Bref, cinq ans après, j’étais au taquet. Claudio Z. aussi, qui prépare…
Jeudi, 20 h – 21 h 30, Claudio Z. m’invite à siffloter quelques tunes en sa compagnie. C’est la folie dans le studio : cinq ans après y avoir chanté avec Je m’appelle Firmin (donc Titi Tonelli à la contrebasse et Damien Ferrier à la gratte, au bonnet et à la vocalité), je reviens Chez…
Enfin une chanson de naissance qui réunit “quenouille”, “gourou” et “c’est bonheur”. L’exploit a été enregistré au Clin’s 20 le 9 juillet 2015, et je crois que, avec ces précisions super faites à Thouars, l’on a quasi fait le tour encyclopédique du sujet. (Si, quand même, le titre de cet article n’a quasi aucun rapport…
La version originale, c’était ça. Et la version non-originale, toute fresh, c’est ça. Je sais, certains diront “bouh, c’est pas ton style”. Certes, mais, justement, parfois, c’est rigolo de ne pas chanter exactement ce qui est censé te correspondre. Et puis, j’aime bien cette chanson, alors je veux pas la laisser dans les limbes du…
L’icône de Je m’appelle Firmin était à l’Opéra national de Paris ce jour grâce à Sophie Koch, afin d’assister à la première répétition d’orchestre du troisième acte du Roi Arthus. Privilèges du chobiz, quand tu nous tiens…
Damien, le chanteur charismatique de Je m’appelle Firmin, illustre ma “Glotte sèche” à sa façon.
7,5 nouvelles chansons arrivent. Voici la première, héritée de l’époque où je propulsais des sons avec le trio Je m’appelle Firmin.
Aujourd’hui, enquête sur une coutume sociologiquement attestée autour de nous. Disons-le : youpi.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !