Rusalka, Opéra Bastille, 13 février 2019
Schizophrène en diable, nous voilà de retour à Bastille, antre de la mise en scène au choix (cumulable) médiocre, bâclée, insultante ou stupide. Après l'expérience des Troyens raccourcis et boutés…
Schizophrène en diable, nous voilà de retour à Bastille, antre de la mise en scène au choix (cumulable) médiocre, bâclée, insultante ou stupide. Après l'expérience des Troyens raccourcis et boutés…
Comme la plupart des spectacles de l'Opéra national de Paris, Rusalka s'annonce comme un produit consensuel chanté par des Russes (et une pointe de Coréenne) aux frais du contribuable français.…