Vittorio Forte, Lavoir moderne parisien, 17 novembre 2025 – 4/4
À l'occasion de son concert lançant son premier disque pour un nouveau label classieux, Vittorio Forte a décidé de finir en envoyant du boudin. Premier au revoir, Adiós Nonino d'Astor…
À l'occasion de son concert lançant son premier disque pour un nouveau label classieux, Vittorio Forte a décidé de finir en envoyant du boudin. Premier au revoir, Adiós Nonino d'Astor…
Dix-neuvième épisode du disque, la seconde composition intitulée "Couleur des jours" cherche sa voie sur les traditionnelles trois notes de basse chères au créateur. Denis Levaillant utilise l'attente, le jaillissement…
Dans un concert latino, quelques noms permettent aux spectateurs de faire les malins. Guastavino, non. Ponce ou Leng, non. Lecuona, non plus. Mais Vilialobosse, ça, oui, on connaît. Pourtant, de…
Le second volume des chansons pour piano de Denis Levaillant s'ouvre sur "Le jardin du sanglier". Pourtant, rien de pataud dans l'énoncé. Des déséquilibres à contretemps, des mordants plus énergiques…
Le huitième volume de l'œuvre pour piano de Denis Levaillant, dont nous avons esgourdé l'incipit ce tout tantôt, s'inscrit dans une geste annoncée en dix épisodes. Les deux premiers volumes exposaient…
Déjà le huitième volume d'œuvres pour piano de Denis Levaillant, et sans doute le meilleur puisque le livret abrite une photo de Bertrand Ferrier en personne, tirée d'une soirée mémorable…
Voici venu le temps de la dernière étape sud-américaine en compagnie de Vittorio Forte, dont le palimpseste original s'achève sur trois pièces courtes. Un intermède chantant le "lointain bleu" ouvre…
Revendiqué par les bandonéonistes, les guitaristes et mille forme d'ensembles instrumentaux ou vocaux, Adiós Nonino (sans tilde mais avec une cap, contrairement à la set-list du disque physique) est un hommage d'Astor…
Attention, ça commence fort : la seconde partie de la première partie du premier concert du quatrième festival Érard (ben ouais, mais quand on prévient qu'on commence fort, personne veut…
En orgue, il y a Bach, un romantique ou deux, Widor, Franck, pour les plus audacieux Alain, Messiaen, et, pour les foufous, Escaich (mais c'est pas obligé). En piano, éventuellement…