L’auteur à la hauteur

  Envoyé récemment par une connaissance avec le commentaire : “Ma fille ignore tout de la fantasy, mais elle a trouvé ce livre à la bibliothèque. On espère que c’est votre meilleur livre !” J’ai pensé à Robert Charlebois chantant “La ballade du phoque en Alaska” [de Michel Rivard] en ouverture de son récital, puis…

Édith Butler et Robert Charlebois, Théâtre de Poissy, 11 avril 2018

N’est-il bon bec que de Québec, comme s’en agaçait Anne Sylvestre en interpelant Pauline Julien ? Ce serait oublier qu’il en plut aussi d’Acadie, dont la représentante qui, ici, plut le plus (en partie grâce à Marie-Paule Belle, ainsi qu’elle le rappelle), demeure Édith Butler. Ce 11 avril, elle était réunie avec Robert Charlebois au théâtre…

Jann Halexander, “À nos tendresses : Pauline Julien”, rue Marc Seguin, 31 janvier 2018

Il faut toujours se méfier des adieux, leurs “jamais” vibrent souvent d’un “peut-être” comme le stipule parfois Joaquín Sabina en introduction de “Nos sobrán los motivos ». Un exemple ? Après un “dernier concert parisien », suivi de quelques autres, Jann Halexander revient à Paris pour préparer, dans l’intimité d’un concert privé, un nouveau projet autour de…

Si j’avais les ailes d’un ange…

J’avais dit à Gründalf : parfois, l’abus de vodka peut être dangereux. Il ne m’a pas écouté. Maintenant, il vole. J’ai beau savoir que c’est provisoire, ça fait zarbosse.

Robert Charlebois à l’Européen : le concert extraordinaire d’un chanteur pas ordinaire

Le contexte : Robert Charlebois a traversé cinquante ans de carrière. C’est le chanteur québécois par excellence, tantôt à texte, tantôt rock, tantôt psychédélique. Il revendique d’avoir usé à peu près de toutes les drogues, même légales, ce qui l’a détruit, construit, instruit. Dix ans après son retour en France (2003), à l’occasion d’un concert…