Un temps pour soie

  Le retour de la canicule n’y pourra mais : le beau, même so russian, n’attend pas l’hiver pour nous faire vibrer. Explorant leurs – donc nos – paysages intérieurs, Anna Homenya et Dmitri Ouvaroff nous offraient, en plein Grand Confinement, une plongée dans l’imaginaire médiévialisant d’un Glazounov fantasmant un ménestrel très personnel. C’est beau,…