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Le retour de la canicule n’y pourra mais : le beau, même so russian, n’attend pas l’hiver pour nous faire vibrer. Explorant leurs – donc nos – paysages intérieurs, Anna Homenya et Dmitri Ouvaroff nous offraient, en plein Grand Confinement, une plongée dans l’imaginaire médiévialisant d’un Glazounov fantasmant un ménestrel très personnel. C’est beau, riche, varié, et ça concluait supérieurement le concert du festival Komm, Bach! intitulé Paysages intérieurs.
(Pour les curieux, un bis magnifique – qui ne sera jamais diffusé en pièce détachée – figure dans la version intégrale. Bonne découverte ou réécoute ici !)