Ça n’a pas d’bon sens
Paraît que ce lit est nul : il n’est pas assez long en largeur. Les dangers de la coke en stock, sans doute.
Votre panier est vide.
Paraît que ce lit est nul : il n’est pas assez long en largeur. Les dangers de la coke en stock, sans doute.
Should I stay or should I go now? Dilemme cornélien a minima frottant bien-être dans son lit en doulce compagnie et nécessité de sortir dans le monde banalement moche d’octobre et de Paris. La nécessité gagne toujours, hélas, mais ce dilemme qui préfère l’oublier n’est rien d’autre que l’expression de l’espoir auquel, parfois, nous réussissons…
Param, paraaam, paraaam, param, param, paraaam, param paraaaaaaaam, param paraparam. (Le reste ne serait que balabalas.)
– J’suis vieux… mais j’suis mignon, quand même, hein ?
Tu connais ce moment, oh, tu connais ce moment où la soirée se termine, tu es fort las, mais ton pote est toujours à fond.
… il s’agirait d’un chien. Sous toutes réserves, évidemment. Ne jamais négliger la possibilité du poulpe, qui expliquerait, sans doute, beaucoup de choses.
Je ne rentabilise pas M. Chien. Ou si peu, pensez. Mémé tavi que Pascal Nègre ne validerait pas le plan de retour sur investissement.
Adieu l’homme-oiseau de Jacques Higelin, bienvenue à mon chien-poisson. L’affaire ne souffre plus discussion, il me semble.
– T’as sorti M. Chien ? – C’est pukonpiké xa. Je voulais, mais j’ai eu l’impression que lui, moins. – Genre.
Ou mon chien fume, ou il a une séance d’ostéo animalier, ou les deux. Dans les trois cas, ça semble super impactant. Ensemble, restons relâchés.
– Et donc, cette nouvelle chanson, je la mets en ligne, tu penses que c’est digne ? – Analyse plus finement mon attitude et réponds-toi toi-même. – Hé-hé ! Je savais pas que tu t’appelais Socrate, Debussy de la Lorette en Cornouailles.
L’été, période propice aux squats. Nouvelle démonstration. Que fait la police ?
… et voler, ça dépend si t’es un oiseau spécialisé dans le projet, en fait.
Des gens absolument anonymes jouent avec mon M. Chien à moi (et sans supplément, stipulerait Chichille). Quelque part, ça vaut que je les exploite pour mon un post témoignant de l’impatience de tous à ouïr les Splendeurs de la catastrophe.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !