Splendeurs de la catastrophe, les artistes : Vincent Crosnier
Le samedi 9 mai, à 20 h 30, en Première YouTube, le festival Komm, Bach! organise un concert tutti frutti intitulé Splendeurs de la catastrophe. Pour présenter les artistes qui…
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Samedi 9 mai, à 20 h 30, deuxième édition des concerts Komm, Bach! sur YouTube suite au succès de la première édition. Le thème Splendeurs de la catastrophe Le…
Petites symphonies pour un nouveau monde : Mendelssohn Chamorel conclut le concert
L'homme fort du piano suisse - un homme sain qui, sans doute, ne boit que des graines en mangeant de l'eau - a participé aux petites symphonies pour un nouveau…
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Allein Gott in der Höh sei Ehr »
Certains préludes de choral de Johann Sebastian Bach comptent parmi les chefs-d'œuvre de la littérature pour orgue. À l'occasion des "Petites symphonies pour un nouveau monde", Anna Homenya a interprété…
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Ici, il fait bon » (Rachmaninoff / Wild)
La vie des grands pianistes confinés, comme Vittorio Forte, that's really something else. [embedyt] https://www.youtube.com/watch?v=iFgkYvkM41c[/embedyt]
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Les Grâces »
Un peu de musique inactuelle, jouée sur un instrument inactuel par une musicienne actuelle : tel est le programme du jour, qui poursuit notre exploration des "Petites symphonies pour un…
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Mazurka »
Second extrait des "petites symphonies pour un nouveau monde" offertes par Jasmina Kulaglich, cette mazurka oscillant entre brio, énergie et fragile équilibre, comme pour traduire un feu intérieur indispensable pour…
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Orphee’s Bedroom »
C'est une minute trente. Volée au bruit et aux parasites. Une respiration. Rien. Donc l'essentiel, résumé par Philip Glass, Paul Barnes et Nicolas Horvath. Un luxe quasi accessible quoique gratuit,…
Petites symphonies pour un nouveau monde : « Back to Bach »
C'est un truc évident et injouable, avec des breaks incessants et invisibles, et des mesures improbables. Pourtant, ce remix bachologique de Jean-Denis Michat sonne avec un naturel swinguant qui sidère…