La Walkyrie, Philharmonie, 25 mars 2018

Devant la montagne, osons le rappel : le ring, c’est seize cordes ; le Ring, c’est quatre soirées et vachement, vachement plus de cordes. Ce dimanche, le Mariinsky, sous la direction de Valery Gergiev, venait zouker La Walkyrie à Paris. Nous y étions, pas que, même si, à la marge, ça joue, parce que nous tendons…

Salle Pleyel, 18 février 2014 : Chostakovitch par Gergiev, 8/8

La salle Pleyel est comble pour la dernière séance, contrastée, de l’intégrale des concertos et symphonies de Chostakovitch par le Mariinsky dirigé par Gergiev. Pour les gourmands, la vidéo est disponible ici jusqu’au 18 juin. La première partie propulse le Concerto n°1 pour violon, avec Vadim Repim au vibrato. L’œuvre, rugueuse en apparence, joue cependant…

Salle Pleyel, 17 février 2014 : Chostakovitch par Gergiev, 7/8

Deux grosses symphonies au programme : est-ce la raison, outre les prix demandés, pour laquelle l’orchestre de Pleyel – contrairement aux balcons – est aussi peu rempli ? Pourtant, le Mariinsky dirigé par Gergiev pour jouer Chostakovitch, c’est appétissant… Et au cas où ça ne serait pas suffisant, le programme du jour est inversé :…

Salle Pleyel, 16 février 2014 : Chostakovitch par Gergiev, 6/8

Beau programme pour ce nouvel épisode de l’intégrale symphonies-concertos de Dmitri Chostakovitch par Valery Gergiev et l’Orchestre du théâtre Mariinsky : le second concerto pour violon et le tube symphonique que constitue “la septième”. Pour les curieux, le concert est disponible ici jusqu’au 16 juin. Comme souvent à Pleyel, l’accueil des ouvreuses dans la salle…

Salle Pleyel, 8 janvier 2013

“C’est très russe, ce soir”, juge avec une lucidité impitoyable un spectateur averti. Remarque d’une justesse éprouvante, puisqu’il s’agit du deuxième volet de l’intégrale Chostakovitch donné par les troupes du Mariinsky (non, aucun rapport avec Mariinskyng Clark), sous la direction de Valery Gergiev. Le programme est, une fois de plus, copieux. La première partie s’ouvre…

Salle Pleyel, 7 janvier 2013

En première partie, la Symphonie n°1 attaque fort. L’Orchestre du Théâtre Mariinsky est précis, puissant, varié. La netteté des attaques, la capacité de nuancer, la beauté des soli, tout concourt à séduire l’ouïe. D’autant que la partition, en quatre mouvements, permet une écoute sans cesse en éveil. Le compositeur contraste, installe des ambiances, renâcle, repart,…