Clarika avait raison…
… j’étais mieux avant, pavé ?
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… aucune. Pas même le fait que tonton Georges est censé vivre encore 61 ans suite à une judicieuse erreur du « directeur artistique du festival Komm, Bach! ». (C’est ça, suite à une erreur de Bertrand Ferrier, mais c’était pas forcément la peine de le stipuler.)
« Le rire est le propre de l’homme. Jacky lave plus propre. » C’est ce pitch hygiéniste et marrant qui préside à la gravitation de zozos artistes ou assimilés autour de la co-vedette de feu le Club Dorothée, pour une quotidienne de culture mêlant mainstream et underground, en français de préférence, et programmée à 17 h…
Dès le premier Grand confinement, Jasmina Kulaglich a accepté de raconter d’autres histoires pour le festival Komm, Bach!. Dans cet épisode, la pianiste nous parle de pagodes à travers les estampes d’un certain Achille-Claude. Juste pour le plaisir du partage. Rater ce cadeau où l’élégance et la musicalité le disputent à la savante respiration…
Ma place préférée : j’adore chanter, mais je crois que j’adore encore plus accompagner. Fier d’être dans le coup pour l’enregistrement en live de deux titres du nouvel album de Jann Halexander.
Il y a comme un air de funérailles, de mystère surtout, d’inspiration proposée aux oreilles qui passent. Et tout cela est produit par Hannah Holman, violoncelliste iconique du New York City Ballet, qui vient de célébrer son nouvel anniversaire (Hannah, pas le NYCB). Fêtons l’artiste en la cyberapplaudissant pour cette pièce offerte au festival…
Rendant hommage à son complice Yannick Le Nagard à l’occasion du Premier grand confinement, Jean Dubois a proposé aux spectateurs du festival Komm, Bach! d’explorer une autre histoire, une nôtre histoire. Et ça donne ça.
Il n’y a pas de solutions. Il n’y a qu’un peu d’avenir. Juste – et c’est tant – du possible à susciter, des émotions à fomenter, de la musique à partager. Si vous partagez cette désillusion joyeuse, bienvenue sur mon boulevard… et celui de Brett & Pat.
Le Deuxième confinement empêche artistes et fredonneurs de tourner. Pas de petit-tournoyer. Donc : voici une chanson du petit-tournoiement. Na, forcément na.
Tu sais que tu n’as jamais ouï la moindre mélodie française tubesque si, dès les premières notes de ce tube de la mélodie française, tu n’as pas envie de crier : « GNAGNAGNAAAA… ILS MÉDIIIIIIIITEUH… »
Dans la série inédite des « chansons malgré le confinement », en voici une sur quelques raisons qui font que nos raisons sont vaines. Veillons tard !
Dictateur inavoué de la Pensée complexe essaye d’écraser les libertés des individus et la possibilité de partager le beau ensemble, les deux étant consubstantiels ontologiquement. Avec nos moyens moyens, nous aurons donc le plaisir de lui adresser un p’tit doigt en propulsant ce samedi un concert de confinement sur YouTube, allant et venant entre…
Steve Vai, tiens-toé ben, j’arriiiiive ! C’était un jour de beau temps, vers la fin de la semaine où l’on enregistrait 44 chansons. Il faisait beau, y avait un jardin. On s’est dit qu’on pourrait bien s’en enregistrer une petite dehors. Comme on pouvait pas sortir le clavier, on a sorti la guitare. Et…
Dans un monde où l’on nous intime de rester chez nous en attendant le nouveau Youkali (le vaccin, donc), il est temps de penser que d’autres youkalis sont possibles. La magie du duo formé par Emmanuelle Isenmann et Jorris Sauquet nous y invite. Non, il n’y a pas de Youkali ; n’empêche ! Certains…
En passant, en chantant. À l’artisanal, au vivant. Parce que la culture ne meurt pas malgré l’inculture des salopards qui nous gouvernent. Créons, vivons, persistons, persiflons. Le reste ne sera jamais que billevesées.
En tant qu’artiste, que créateur, qu’idole des jeunes peut-être, que génie génial à coup sûr, je me dois de m’engager publiquement et avec force. Oh, bien sûr, je pourrais rester entre mon yacht, mon hôtel particulier et mon manoir ! Hélas, en ces temps troublés, il me faut dire à chacun : ne croyons…
Depuis la centaine de concerts d’orgue-et-pas-que organisés après la restauration de l’orgue en octobre 2016, le festival Komm, Bach! que je coordonne as much as possible espère offrir gratuitement aux mélomanes et aux curieux des musiques d’antan, de jadis, de tantôt et d’aujourd’hui. Grâce à Jasmina Kulaglich, le Premier confinement nous a permis de…
Le nouveau confinement fracasse les artistes. Impossible de musiquer ou de chanter. Donc nous continuons de chanter en musiquant. Manquerait plus xo.
Réunir deux génies de la chanson en français avec du texte dedans : le festival Komm, Bach! l’a fait, en convainquant Jean Dubois, exceptionnel « ACI » souvent loué sur ce site (même ici), de fredonner du Charles Trenet – que nous pouçons en l’air et qui fut un tout p’tit peu plus connu mais est…
… donc voilà, quoi. Aujourd’hui, on emploie « ce nonobstant », pis c’est tout.
Sous l’archet souple et attentif de Hannah Holman, la vie danse doucement et joliment. Un cadeau offert pour le Premier grand confinement, qui n’en résonne certes pas avec moins de force pendant ce Deuxième petit emprisonnement…
Paraît que, dans les magasins non essentiels, seule la clique se connecte. Ça tombe bien, ceux qui cliquent ci-après se pourront connecter à une chanson inédite moulée à la louche pour ne pas laisser le Petit confinement – cette infamie qui tâche de séparer les gens, de les humilier économiquement et de les asservir…
Jorris Sauquet, le merveilleux lutin des orgues parisiens, a tantôt claqué pour le festival Komm, Bach, dans les conditions du direct, une version isoirienne d’une splendeur grattée par Johann Sebastian Bach – fût-ce en l’honneur de cette pleutrerie qui pue bien du cul, aka la chasse. Le contexte immonde exclu, qu’il s’adresse aux riches…
Une chanson sans gros mot, je crois. Moulée à la louche pour passer le reconfinement avec ou sans couvre-feu. Comme ça, en passant.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !