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Debussy de la Lorette en Cornouailles. Photo : Bertrand Ferrier.

 

… une vieille carne, à la fin d’une célébration, vient me dire que j’ai joué trop fort, ou trop dissonant.
Ou quand on m’explique que je me suis “éclaté” parce que, pour une fois, j’ai plutôt joué de la musique à l’offertoire que ploum-ploumé un chiant des sectes charismatiques.
Ou quand la responsable d’une association pour la promotion de la musique me confirme que, six mois auparavant, elle a bien reçu le chèque d’un internaute pour soutenir le festival mais elle a un an pour l’encaisser, alors ça va, quoi.
Ou quand [à suivre]…