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Nora Gubisch. Photo : Bertrand Ferrier + Esther Assuied.

 

Éloignée des scènes depuis les annulations en cascade dues à l’épidémie de fermetures (et réciproquement), Nora Gubisch fait son grand retour au Théâtre des Champs-Élysées ces 2 et 3 juillet pour trois représentations de prestige. À cette occasion, la mezzo entière et passionnée qui a triomphé dans quelques-uns des plus grands théâtres lyriques de la planète, celle qui a été la Carmen de légende de Calixto Bieito et la Brangäne qui a époustouflé l’Opéra de Vienne, celle qui interprète avec la même fougue Mozart et Fénelon, Berlioz et Bartók, Berio que Saariaho – tout en récitant Debussy, nous offre de passer la soirée du 1er juillet en sa compagnie.
Au programme, une série en deux volets pour percer les secrets de cet étrange métier d’artiste lyrique… et deviner qui se cache vraiment sous l’impressionnante chanteuse et récitante qu’elle est devenue. Authentique et réfléchie, spontanée et profonde, rigolote et pas que, la star s’humanise sans tout à fait perdre son mystère mais en nous révélant quelques vérités aussi croustillantes que palpitantes sur son art, sa profession et sa vie. Forcément inratable !

 

 

Première partie, à 20 h : avant (2019)

Le 17 décembre 2019, Nora Gubisch invite les curieux et les étudiants du très réputé Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris à une rencontre pour parler de son travail exceptionnel, de sa formation, de sa passion et de ses rêves. Annoncée “sans tabou”, la rencontre a tenu ses promesses entre fous rires et confidences.
En Première YouTube, nous en diffusons en exclusivité un florilège bondissant et rebondissant.

 

 

Seconde partie, à 21 h 30 : après (2021)

Dix-huit mois après cette première rencontre, le monde artistique est bouleversé. La plupart des scènes ont fermé. Sauf quelques exceptions, notamment en Russie, les artistes se sont retrouvés le bec dans l’eau, à attendre des jours meilleurs sans être sûrs qu’ils arriveraient. Nora Gubisch a accepté de témoigner sur cette période imprévisible et tellurique, avec sa vivacité coutumière, son intégrité viscérale et sa puissante force de vie.
Un moment où l’on parle aussi bien de voix que de mésange charbonnière, d’utilité (ou non) des artistes que de procrastination, de casseroles que d’appli pour les hôpitaux, de désarroi que de passion. Cet échange profondément humain est à suivre en Première YouTube en présence digitale de l’artiste (sous réserves).


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