SPA Grammont, 20 janvier 2016
Capitaine. Un classique. Un loup gentil qui aime les câlins et r’nifler de ci de là. Toujours triste de le rerevoir au r’fuge.
Aujourd’hui, il s’appelle Rex. Hier, Golan. Beau gosse, joueur, caresseux (avec un “k”, pas un pet), pêchu, sans souci. Lui non plus, comprends pas c’qu’il traînasse dans l’coin. Mais bien content de sortir enfin en sa compagnie, depuis l’temps que, etc.
Là, j’avoue, on a fait les cons avec le porcelaine Kitaro. J’étais à la fois trisssse et content de le revoir. Pour fêter ça, on est allés faire des trucs interdits, genre aboyer ensemble après des lapins, débarouler des pentes à 800° (c’est chaud), se viander contre des arbustes et repartir avec des branches de 7 kg environ accrochées à la laisse… Bref, un chien r’nifleur et câlin dont c’est lui aussi qu’est-ce que j’comprends pas pourquoi c’est qu’est-ce qu’il est là (en gros, hein). Ah si, un conseil : suivez le lien sur son nom et regardez ses photos officielles, vous allez bien glousser.
Et ça finit avec Corso, le lion de la savane de Genevilliers. Comme y a pas de savane à Genevilliers (des quartiers où c’est un peu la jungle, oui, mais c’est pas la question), c’est un super coureur, malgré une demi patte en rade et, même s’il n’aime pas trop que cela soit révélé, une boule de poils qui aime les grattouilles et les câlinations. Voilà, c’est dit.
Alors, ne serait-ce que pour me permettre d’avoir un immense domaine où je ferais le con avec tous ces chiens, merci d’acheter mes livres en masse, via votre libraire, Amazon (au moins il ne vous dira pas, comme m’en a témoigné un authentique expert organier récemment, “Bertrand Ferrier, c’est nul, jamais je ne vendrai ça !”, alors si c’est vrai, va te faire bien enculer, salope de librairie Monnier que j’ai pourtant fréquentée et financée) ou, pour les livres disparus, la librairie du site elle-même.
(“Gnagnagna tu n’as pas honte de rentabiliser ton bénévolat ? / – Prout, c’est bien mon genre. / – La honte ou le bénévolat ? / – Oh, ferme-la physiquement et à tout jamais.”)