Les grands entretiens – Nicolas Horvath, l’intégrale

  La parution des Dix-sept préludes à la nuit noire qu’il a composés est l’excellent prétexte autour duquel s’est noué un entretien à bâtons rompus avec le pianiste Nicolas Horvath. Quelle vision de la composition électro-acoustique a cet artiste ? Sa technique de création a-t-elle évolué au fil du temps ? Quel rapport (ou quel…

Les grands entretiens – Nicolas Horvath 5

  En cinq épisodes, l’artiste nous invite à plonger sans filet dans les mystères de la musique électro-acoustique en général et de sa musique électro-acoustique en particulier. Bienvenue pour le dernier tour de grand huit dans le cerveau vertigineux d’un homme de l’art complexe, singulier et passionnant !   1. Géologie des préludes 2. Identité…

Nicolas Horvath joue Hélène de Montgeroult (Grand Piano, 3/3)

    Seize ans après le premier recueil de sonates évoqué ici, quelque onze ans après le deuxième chroniqué là, le troisième et dernier volume de l’intégrale Montgeroult by Horvath s’annonce copieux. Nous est promise 1 h 4’ de musique, articulée en trois morceaux à la fois semblables et dissemblables. La Sonate en Ré (26’)…

Nicolas Horvath joue Hélène de Montgeroult (Grand Piano, 2/3)

  En découvrant le nouveau double disque de Nicolas Horvath, une question paraissait s’imposer : 2 h 30 de sonates publiées entre 1795 et 1811, sera-ce une découverte stupéfiante ou, posons l’hypothèse en ces termes, une gave lénifiante ? Le premier des trois recueils de sonates « pour le forte piano » puis « pour…

Nicolas Horvath joue Hélène de Montgeroult (Grand Piano, 1/3)

  Avec son nouveau double disque, Nicolas Horvath – souvent évoqué sur ce site – rappelle qu’il est possible de défricher des parcelles de la terra incognita qu’est le répertoire musical dès lors que l’on s’éloigne des autoroutes surfréquentées, sans recourir aux astuces marketing un brin puputes dont les labels sont friands. En 157 minutes,…

Petites symphonies pour un nouveau monde : Hélène de Montgeroult

Parmi les virtuoses qui ont participé au concert du 28 mars, le plus dingue, et de loin, s’appelle Nicolas Horvath. Redoutable manipulateur de clavier, l’homme ajoute à cette caractéristique une forte dilection pour la musique minimaliste, l’exploration de répertoires multiples et les concerts de plus de douze heures. Mais même les miniatures d’1’40, ça lui…