The Greatest is back
Le plus drôle chanteur du monde francophone revient avec une nouvelle idée saugrenue à la hauteur de son talent. On peut s’abonner à la nouvelle farfelade de Philippe Chasseloup, entre 10 (1 mois, soit quatre farfelades) et 100 € (12 mois, il est nul en compta). Rens. sur la vidéo et à chasseloup.lesadsl@gmail.com. Aucun doute sur la qualité et le brio de ce que fomente cet olibrius, brillant, subtil voire « improbable » comme on disait jadis. Il FAUT donc s’abonner et OBLIGER, par tout moyen coercitif nécessaire, les genssses à s’abonner en masse – et en toute liberté spontanée. Ils donc moi finirons par vous remercier, comme toujours.
Pour les joyeux ignorants, Philippe Chasseloup (troisième à droite, la voix au dessus de toutes les voix) fut, entre autres, le patron des Jambons, interprètes de cette cover tellement pure.
Sainte famille
Pour le mariage de mon minifrère, il me fut demandé de composer un psaume. Je fis au plus simple. Finalement, il paraît que « c’est beau mais trop compliqué, peut-être va-t-on plutôt le lire ». Moi qui craignais que l’on m’interpelât pour avoir manqué d’incisivité compositionnelle, me voilà rassuré : en fait, mon psaume est quasi révolutionnaire, genre niveau cycle fin d’études. Ça fait un peu peur pour la révolution, mais, in a way, c’est flatteur.
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Les cendres de l’été
Invité à la cérémonie d’adieu organisée pour le père d’un co-auteur de série à succès. Donc petite chanson de cirque en stances, in memoriam : on a les lunettes de soleil que l’on peut.
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Fête collégiale
Aux grandes orgues de la collégiale Saint-Martin de Montmorency, improvisation (4’10) sur un double thème : le Salve Regina, qui concluait la messe, et des bribes de La Marseillaise. Le son est pourri, mais, franchement, la vie n’est pas toujours luxueuse, alors, ça va, hein, quoi, le snobisme.
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Parmi mes soucis, les nez sont les cadets
« Parfois, quand on parle à quelqu’un assez longtemps au téléphone, il finit par oublier qu’on a un gros nez. » (in : Charles M. Schulz, Snoopy & les peanuts, 16 mars 1978, trad. Fanny Soubiran, Dargaud, 2014, p. 190)
Enfin une bonne surprise !
7,5 nouvelles chansons arrivent. Voici la première, héritée de l’époque où je propulsais des sons avec le trio Je m’appelle Firmin.
Un remède contre la morosité
Je pense, je réfléchis, je conclus : la solution à la grise mondiale, c’est la gouleur. Voilà, maintenant, débrouillez-vous. Chacun son taf, merde, à la fin.
Un propre à la consommation
Restituées par la prise de son d’Avelino Marinho, voici les deux improvisations données pour la Fête de la musique sur le grand orgue de la collégiale de Montmorency, en mémoire de son titulaire emblématique, Yannick Daguerre.
A Brief Requiem (3’20)
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Improvisation sur le thème liminaire de la Pastorius Toccata de Yannick Daguerre (4’40)
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