Hi hi hi
En ces temps sombres, rigolons. Mais pas trop, bien sûr.
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« Reprendre » Michel Bühler, c’est dire et chanter. Ensemble. Partager, ne serait-ce que pour contrer l’écrasement de la culture et des gens, activité sordide dont se délectent les gougnafiers qui nous gouvernent. « Reprendre » Michel Bühler, c’est lutter dans la joie. Et pour 2021, on verra bientôt.
Dernier jour de l’année. La dictature pseudo-sanitaire, qui oppose « l’ordre » nécessaire à la « faillite » et au « naufrage » n’est certes pas finie. N’empêche. Comme on n’a pas le droit de faire de l’art, on en fait, on en crée, on en partage. Tant que l’on pourra, on fredonnera, on gueulera et plus si affinités. …
On ne va pas mégoter. Pas de lieux de spectacle pour chanter. Donc, on continue de chanter en faisant feu de tout bois. Même les pierres, ça marche, hein.
De l’air. Des airs du désert. Lâchés lors du dernier concert autorisé dans une salle de spectacles, le 29 octobre 2020. Une chanson géographique du voyageur Michel Bühler, un peu saucée à ma façon, rien de plus. Une respiration. En passant.
Alors que le gouvernement a sorti son marteau-piqueur contre la culture, beaucoup d’acteurs de ce petit monde essentiel sont morts ou en cours d’agonie. A priori, Alain Souchon, non. Ça tombe bien, c’est pas du tout le sujet de cette vingt-neuvième chanson de confinement ou d’entre-confinement, va savoir.
C’était le début d’un concert quasi impromptu. Il fallait qu’il fût donné vite et tôt et, malheur, sans after – mais il pouvait être donné, ô miracle surplombant l’incompétence éhontée des politocards en blues blanc. Alors, avec le théâtre du Gouvernail et le chanteur Jann Halexander, assez frappadingue pour coproduire la représentation on a…
– Et donc, vous avez accompagné Mylène Farmer ? – Quasiment. Oui, c’est ça, notez : quasiment.
L’escargot rêve de laisser une trace. Nous, moins. C’est pour ça, on fait des chansons.
Les salles de spectacle restent fermées. Celle-ci reste fermement ouverte. Comme les plus belles robes blanches, peut-être.
Marcher sur le gazon, est-ce tenir le haut du pavé ? À défaut d’en pouvoir débattre en live, fredonnons-le entre nous.
Avec un joli sourire, c’est tous les jours dimanche. Avec deux, imagine. Et avec un nounours, bon, tu penses.
« Le rire est le propre de l’homme. Jacky lave plus propre. » C’est ce pitch hygiéniste et marrant qui préside à la gravitation de zozos artistes ou assimilés autour de la co-vedette de feu le Club Dorothée, pour une quotidienne de culture mêlant mainstream et underground, en français de préférence, et programmée à 17 h…
Ma place préférée : j’adore chanter, mais je crois que j’adore encore plus accompagner. Fier d’être dans le coup pour l’enregistrement en live de deux titres du nouvel album de Jann Halexander.
Le Deuxième confinement empêche artistes et fredonneurs de tourner. Pas de petit-tournoyer. Donc : voici une chanson du petit-tournoiement. Na, forcément na.
Dans la série inédite des « chansons malgré le confinement », en voici une sur quelques raisons qui font que nos raisons sont vaines. Veillons tard !
Steve Vai, tiens-toé ben, j’arriiiiive ! C’était un jour de beau temps, vers la fin de la semaine où l’on enregistrait 44 chansons. Il faisait beau, y avait un jardin. On s’est dit qu’on pourrait bien s’en enregistrer une petite dehors. Comme on pouvait pas sortir le clavier, on a sorti la guitare. Et…
En passant, en chantant. À l’artisanal, au vivant. Parce que la culture ne meurt pas malgré l’inculture des salopards qui nous gouvernent. Créons, vivons, persistons, persiflons. Le reste ne sera jamais que billevesées.
En tant qu’artiste, que créateur, qu’idole des jeunes peut-être, que génie génial à coup sûr, je me dois de m’engager publiquement et avec force. Oh, bien sûr, je pourrais rester entre mon yacht, mon hôtel particulier et mon manoir ! Hélas, en ces temps troublés, il me faut dire à chacun : ne croyons…
Le nouveau confinement fracasse les artistes. Impossible de musiquer ou de chanter. Donc nous continuons de chanter en musiquant. Manquerait plus xo.
… donc voilà, quoi. Aujourd’hui, on emploie « ce nonobstant », pis c’est tout.
Paraît que, dans les magasins non essentiels, seule la clique se connecte. Ça tombe bien, ceux qui cliquent ci-après se pourront connecter à une chanson inédite moulée à la louche pour ne pas laisser le Petit confinement – cette infamie qui tâche de séparer les gens, de les humilier économiquement et de les asservir…
Une chanson sans gros mot, je crois. Moulée à la louche pour passer le reconfinement avec ou sans couvre-feu. Comme ça, en passant.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !