Réforme orgographique 2
Près de la console, un carton. Pas de quoi en faire des caisses, non ; mais si les anges ont les boules, on comprend pourquoi.
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Près de la console, un carton. Pas de quoi en faire des caisses, non ; mais si les anges ont les boules, on comprend pourquoi.
Devinette : qu’est-ce qu’une generale ? Reponse : la derniere repetition, assurement.
Je crains d’avoir compris pourquoi beaucoup d’organissses se disent catholiques : ils ont pris l’habitude de prier pour ne pas mourir électrocutés quand ils fréquentent des toilettes insalubres avant un enterrement. Ceux qui ne sont pas cathos doivent être des satanistes kiffeurs d’AC/DC.
Ou l’organichte que je remplachai tantôt n’a jamais joué chur chon réchit, ou elle aime bien la pouchièrche. Ch’est un chtyle.
D’abord, aller à l’infirmerie pour l’engueulade qui met bien en forme (« Faut pas entrer ! / – On me demande de sortir les chiens qui… / – C’est pas la question ! N’entrez pas ! / – Va te faire bien emphysiquer, godasse »). Puis s’occuper du chouchou, Golan, ne serait-ce que parce que l’on n’a…
– Bertrand Ferrier, demain, premier show-case issu de votre projet de covers avec Fabrice Dupray. – C’est précis. – Êtes-vous au taquet ? – Je suis simplement au bout de ma vie. La preuve en photo et en vidéo. Mais j’aimerais bien que ça plaise, parce que c’est très smooth and surf.
C’est une brève issue d’un nouveau projet. Pardon, d’un new project : exploiter Fabrice Dupray pour qu’il chante ce qu’il veut. Nougaro, Julien Clerc, Brassens et surtout Jacques Brel. Mettre de la voix, de la trompette virtuose, du piano, des percus – faire de la musique, quoi. Et puis espérer que ça vous fasse pétiller….
… et c’est à tout le moins bien aimable à lui. C’est pas gagné Paroles : Bertrand Ferrier Musique et interprétation : Jann Halexander J’aimerais êtr’ cigarillo entre tes lèvres Quitte à finir mégot crashé sur cendrier J’aimerais êtr’ le nom des rues dans ton désert La veill’ du carnaval sur ton Fleuve de Janvier J’aimerais êtr’…
D’abord, visite à l’infirmerie pour une petite sortie avec Danette, Poppy, le p’tit-bonhomme-dont-j’ai-oublié-le-nom et le grand gourou Skippy. Toutes choses ayant été faites par ailleurs, c’est l’heure du chouchou, Golan… … lequel décide de me mettre dans la tête la chanson de Polo, « Les jonquilles ». Après, un échec triste : vingt minutes de négo n’ont…
Pas besoin d’être grand clerc pour voir que ce n’est pas grand-chose. Tu le sais bien, le temps passe, ce n’est pas grand-chose.
Une Rom qui demande argent pour manger bébé. Un rasta qui finit sa pelouse. Un couple tamoul qui s’engueule. Un djellabiste qui récite son chapelet. Un mec qui se demande si un G6 ne remplacerait pas avantageusement le banal E7 au troisième temps de la mesure 15 dans « Quand on n’a que l’amour ». Une Africaine…
– Merci. Merci infiniment. Ça me touche beaucoup. Merci vraiment. – Mais c’est pas pour toi, Bertrand. – Ah ? – C’est pour le mort. – Flûte de 8′ ! Alors je fais quoi de mes remerciements, moi, maintenant ?
Si un soir d’hiver, un voyageur (ou une mère) te propose une tisane (une vraie, avec des feuilles et tout) pour finir un repas de famille, n’oublie jamais cette équation, ô mon frère. + =
– Tu penses qu’on devrait mettre le radiateur du grand orgue à l’orgue de chœur ? – Bien sûr, il fait huit degrés à la console, et le grand orgue est inutilisable pour le moment. – Une autre suggestion ? – Mais carrément ! Au-dessus du radiateur, faut mettre un carton. – Qui dirait quoi…
Répéter chez un trompettissse, c’est un peu comme aller chez le dentissse : même si on a confiance, on se méfie.
D’abord, le chouchou. Bon, l’un des chouchous. Golan en personne. Puis Jeff, une tornade de deux ans et demi, qui court, fait des câlins, feint de caler et joue (photos rigolotes à feuilleter ici). Et voici Bandit. De la puissance, de l’envie de jouer (un an et demi), et pas une once de méchanceté. Pas…
… et moi, je suis concepteur-réalisateur de proposition sonore. Sots.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !