Vyve l’offyce de tourysme…
… et même hyp hyp hyp, hourrah !
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Ce tantôt, j’ai joué un Cavaillé-Coll somptueux qui… Un instant, je vous prie. Ouais, c’est moi, tu peux me faire monter le stagiaire Photoshop ? Super. Avant ça, apporte-moi le rouleau de Sopalin, du détergent et le 9 mm. Pardon ? Mais non, au contraire ! C’est pour éviter de le faire souffrir trop longtemps….
– Ha, vous voyez, il va très bien, cet orgue ! – Ben non. – Pardon ? – Quand on tire le clairon du grand orgue, ça fait pouët. – Bon, une fois qu’on le sait… – Certes, mais le premier do de ce jeu met cinq à dix secondes à fermer son clapet. Et…
… mais, si la mort est la réponse, merci, je prends l’énigme.
Y en a, c’est leurs cuissots au bord de la piscine. Pour le Parisien qui stationne et tient les murs, la vacance, c’est ça, et c’est pas si pire. Ben quoi ? On est tous sur le même bateau (ha-ha), mais y a des capitaines et des matelots, v’là tout.
Pas de vacances pour les spammeurs. Profitons donc de leurs aphorismes et propositions suspendues dont certains, il faut l’admettre avec enthousiasme, sont aromatisés au meilleur René Char. Aussi voici le deuxième épisode de notre saga d’été, forgé au hasard de nos courriels non sollicités. Dites à vos amis ce qu’ils ne savent toujours pas. Vous…
Ceci n’est pas une exposition, plutôt la mise en valeur d’un département souvent négligé dans ce monstre qu’est le Louvre. La raison ? La restauration (en cours) des 150 œuvres de ce genre, datées des dix-septième et dix-huitième siècles et conservées sous la Pyramide. Précisons l’évidence : ce n’est pas grâce à l’institution que la…
Lampe en main, Étienne traque le responsable du cornement persistant du 1Db au récit. Je le conseille de mon inutile mais perçant regard noir et blanc. La vie estivale d’un orgue, quoâ.
Ce moment où, pour 2 h 30, tu comprends pourquoi être rganiss, c’est coule. Car, non, tu ne pars pas en vacances – tu es trop petit pour zapper deux mois de casuel, mais voici août, c’est la night et t’es au centre d’un Paris vidé, donc tu vas répéter en p-a-i-x, sans faute de rtograf….
… car c’est, au fond, souvent la question : comment les spammeurs-hackers du quotidien peuvent-ils se faire fourguer des lots de courriels si peu crédibles ? Leur monde paraît aussi opaque et puant que stupide. Personnellement, j’ai une conviction : certains sont des poètes frustrés en quête de lecteurs. Les salves de courriels qu’ils m’envoient…
Le danger de cette ineptie d’écriture inclusive, c’est ça (par exemple).
– Je ne sais pas de quoi ça parle, me dit la vedette concernée par cette image qu’il m’envoie. – Je ne sais pas quel organe de semi-paltoquet m’a semi-piqué cette photo, réponds-je. Si quelqu’un dit m’avoir contacté, lo niego todo. – Survivons-y, suggère-t-il. – Bon, si t’insistes, je ferai mon possible, conclus-je. – ……
Les migrants sont un sujet chéri des grrrandes expositions du Petit Palais. Après « Les Hollandais à Paris », voici « Les impressionnistes à Londres. Artistes français en exil », couvrant, en gros, la période 1870 – 1910, cumulant les chefs-d’œuvre, proposant une déambulation à la fois spacieuse et éblouissante, et évitant de répondre à la question de base…
Moins connue que la crim’, sauf en été, voici la clim’ appliquée à l’orgue. Tout à fait, une bassine d’eau dans le buffet. Voilà, c’était notre cours de facture d’orgue pour aujourd’hui. On se revoit à la rentrée pour de nouveaux éclaircissements – faut pas abuser des connaissances.
Quand il fait chaud, en août, parfois, je fais des compotes. C’est peut-être pour ça qu’il fait chaud. Pas d’inquiétude : animé par une curiosité toute scientifique, je vais bientôt arrêter afin de vérifier s’il y a vraiment un lien. Vous m’en direz des nouvelles.
Merci aux foufous qui grignotent L’Homme qui jouait de l’orgue depuis les fjords scandinaves jusqu’au hamac de leur jardin. En cliquant ici, rejoignez leur mouvement afin de profiter au mieux de vos vacances. Quoi que…
… tout le monde, même moi. Voici donc ma nouvelle photographie d’art intitulée « Murmure des bains de sang » (casserole et mûres des Batignolles). En prime, le mégahit qui a lancé la carrière météoritique, portée par une espèce de vérité, du trio Je m’appelle Firmin. Voici donc « X (Tout le monde fait l’amour) » (Paroles : Bertrand…
« – Merci de respecter la mémoire de mon père en ne jouant, pour ses funérailles, que du Messiaen et du Duruflé. Et attention, je connais très bien l’orgue de cette église, j’y ai joué les plus grandes pièces de ces génies, inutile d’essayer de me berner. / – Après, j’ai pas le numéro de tous…
La problématique : la mode des polars qui viennent du froid touche le cinéma comme la littérature. Voici donc un film dont le titre danois a été habilement traduit en français par The Guilty, tellement sexy. Mais qui est ce ou cette coupable ? et le film de Gustav Möller est-il vraiment un film, puisque le réalisateur s’échine…
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !