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SPA Grammont, 19 août 2016
Direction la SPA de Genevilliers, ce jour. Et d’abord filer ni à Pau, ni à Lourdes mais sur Dax, dit Big Nounours. Avec son auréole blanche en forme d’hélicoptère et sa balle, bien sûr.Puis Choupette – pas référencée sur le nouveau site, calamiteux, de la SPA. Une mamie plus têtue que ne l’étaient mes propres…
Humour qui sent le trou
– Oui, bonjour, c’est l’imprimeur. Sur les pages 385-386, on a rien. C’est normal parce que le chapitre s’appelle « L’Homme troué », ou il y a vraiment un problème ? – Oh, putain, dites-moi où la compositrice est en vacances, je vous jure que je vais lui trouter sa gueule de nulle. On n’aura qu’à dire…
Le regard qui claque comme une devise…
… il est toujours trop tôt, jamais trop tard.
Éloge anthume post-mortem
En 2010, paraissait De Sarcelles à Compostelle. La mémorable histoire des deux fous qui voulaient voir Saint-Jacques (Les Portes du Soleil) – un récit de voyage de Mathieu Lours auquel j’avais prêté la patte. Ce récit trépidant (et en vente ici, faut pas déconner) était émaillé de portraits. Dont celui d’Odette, qui vient de décéder….
Trop tard
Merci de déposer clopes et bières à l’entrée de l’église. Ou alors, fallait faire organissse.
Un abécédaire d’organiste liturgique
Supplément illustré à L’Homme qui jouait de l’orgue (Max Milo, 2015) A comme attente Quand l’organiste est de ceux qui jouent loin de chez eux, matin et après-midi, il lui faut parfois transformer sa « tribune » en cantine. Et attendre que le temps s’accélère. (Noter l’absence de couvert, qui va bientôt susciter l’auto-colère…
Le fekfe de la traducfion
– Attention, Bertrand, j’adorerais travailler avec vous, mais je fais surtout des livres pour filles, et vous êtes un garçon. – Palsambleu, en voyant la nouvelle édition d’une de mes dizaines de traductions et livres « pour filles », j’avais oublié. Et sinon, si un mec te dit : « J’adorerais travailler avec vous, mais, pour un poste…
SPA Grammont, 13 août 2016
… alors que revoilà la sous-préfète Golan, mon chouchou à moi mais pas qu’à moi, heureusement pour lui. … et voici venu Mr Snoop, dog et puissant spécialiste – si je n’ai pas de trou – de la balle et de la roulade par terre. … et, poum ! le quasi labrador par excellence, Mr…
Pas de vertige pour les faucons
Aujourd’hui, M. Faucon, mon pote de tribune, s’baladait à la recherche de pigeons. (Métaphore du show-business, pit-être.)
Oh, it’s summertime again…
… in Pawisss. So chic.
Je veux chanter pour ceux…
… qui sont loin de leur dodo… Ça fait mal, ça fait mal… De plus en plus mal (sauf à M. Canard, mais bon)… Je veux chanter pour ceux qui sont de plus en plus loin de leur dodo, etc.
Cinq minutes avant la messe…
… la foule a envahi le lieu de culte. On avise, dans toute sa splendeur, la « violence catholique » dont parle ce gougnafier de François pour relativiser l’égorgement du P. Hamel.
Et si on kiffait la vaillebe ?
Là. Bien. Parce que. Et je crois que j’ai été clair.
Le faux faucon et moi
Même à la tribune des églises qui fichent les choukoutounses, se cachent des animaux de compagnie… et des jouets pour occuper l’organissse. Ouf.
De l’art ou du moche
Dans les coulisses de certaines églises franciliennes, on trouve du beau à l’état brut, dont le sens profond échappe à l’ignare. En tout cas, à moi. Mais c’est très beau, hein, c’est presque pas la question.
No-noces mauves
– Hé ! mec ! On s’en fout de ton rendu de trois romans pour le 11 août, qui fait que t’es toujours pas allé à la SPA depuis des lustres. Tu viens jouer avec mon os mauve, ou t’attends de m’euthanasier pour regretter ce moment de complicité que l’on pourrait avoir ? – Pfff.
DJ Organ
– Bertrand, y a un problème de sono… – Bon, OK pour un check sound, BB Deolinda.
First beings first
Quand on me dit : « Quand même, tu préfères pas les nanimaux aux humains ? », je réponds que, souvent, si, évidemment. Et, comme les peluches sont manière de nanimaux, c’est sûr que, bon, bref.
Trouver l’intrus
Parfois, sur les tribunes où l’on est invité à jouer, l’on découvre d’étranges partitions. Ainsi, ce tout tantôt, j’ai déniché une manique (pas la complice de Jo Akepsimas, soit dit aux connaisseurs), classée entre Johann Sebastian Bach et Olivier Messiaen. Je suppose qu’elle faisait une fugue.
Paris est un fait
Aime bien rentrer de chez l’éditeur. Souvent, y a un bus que 15′ plus tard. Alors, je rentre à pied et baguenaude comme un prince. Oui, ou comme un Japonais. Mettons : comme un prince japonais, et tout le monde sera content, je pense, ce qui n’est pas si fréquent, gnagnagna tagada tsoin-tsoin.
Le cat king
Fini, le lion. Désormais, le seigneur de la jungle est un chat, et j’le connais pas mal. Seul problème : il s’appelle M. Francis, ce qui impacte beaucoup sa crédibilité royale.