Super
En pleine pénurie d’essence, c’est important – à mes nyeux – qu’un projet de collection pour la jeunesse soit plein de super.
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« Veuillez m’excuser de ne pas avoir réagi à votre courriel plus tôt, mais vendredi soir et samedi j’étais invité à un anniversaire. » Je me doutais que nous avions choisi le bon expert : non seulement il est simple quoique vraiment expert, mais en plus il a les meilleures essscuses du monde.
C’est l’histoire d’un malentendu bien réjouissant. Je venais applaudir Diana Damrau. Sans le savoir, je vins un jour trop tôt. Je passai les contrôles à l’entrée du TCE. Personne ne s’opposa à mon intrusion. Par chance, personne ne squattait mon siège du lendemain soir. Je m’étonnai que la salle fût si peu pleine pour entendre…
Dans certaines églises, prudents, les responsables ont barreaudé la fenêtre des toilettes pour que les organissses ne s’échappent pô. Mazette, ils sont forts, les diables.
Hé-ho ! Ça dérangerait quelqu’un d’envoyer un peu de soleil pour pas démoraliser ceux qui bossent les jours Ferrier ? Par avance, merci.
Chic, M. Chouchou, alias Golan, aka Rex, n’est pas sorti aujourd’hui. Enfin, n’était pas. Depuis mon passage, c’est fait – courses, gambades, grattouillismes, fouilles de bosquets, check. Et toc ! Direction Lorka, malinoise encore bébé (à peine sept mois or somethin’). Un loup qui adore se rouler dans l’herbe, jouer, faire la folle et prendre la pose….
« Si les sabres cognent la planche de l’abrégé de tirasse, que fait-on des découpes pratiquées pour l’avancée des sabres ? » On est tout simplement, simplement, sur une réunion de chantier organistologistique.
– Déception. La mairie n’est pas venue comme prévu inaugurer l’exposition « Europe vivre-ensemble », avec la création de Serty 31 sur le vivre-ensemble en Europe via des lignes graphiques qui… – Et si on allait en discuter autour d’un verre de whisky puis de rosé, monsieur le curé ? (Parfois, c’est smooth d’être titulaire.)
– En mai, fais ce qu’il te plaît. – So what? – Ben, si un thé te plaît, va te le faire. – Jolie moralité.
Non. Quand tu joues un baptême, et que toute la famille sauf les vieux est concentrée à l’entrée du lieu de culte, tu ne vas pas distribuer ta carte en cas de décès envisagé dans les mois à venir. Un peu de dignité, quand même. (Mais t’y penses. Même si tu n’as pas de carte.)
« Les coincements du deuxième ré se fréquentifient », stipule l’organissse sur le cahier de doléances destiné au facteur. Sans doute du Bertrand Ferrier dans le texte, je suppute. Las ! Néologisez, il en restera souvent à peu près rien, mais bon.
Début des répétitions pour le concert de reprise(s) lillois. C’est noir, c’est blanc, Yannick dirait « c’est métis ». Heureusement, non.
– Quand tu me disais : « Mon orgue a une très belle flûte », je pensais pas à une flûte-flûte. Plutôt à un jeu de flûte. – En tout cas, ici, on a une flûte qui sonne très bien. Peut-être es-tu un p’tit peu jaloux ? (Humour d’organissse.)
D’abord, longuement, discuter avec la patronne du refuge au sujet des facéties oragnisationnelles imposées par certains bénévoles. Puis, Golan et Corso étant sortis par un autre olibrius, passer aux choses sérieuses, en l’occurrence Daya, huit ans, toujours énergique et rigolo. Miss Scarlett, elle, est censée ne blairer personne, surtout pas ses congénères. C’est prometteur. Malheureusement,…
La bordure de tribune scotchée et lumineuse : une prudence sans doute précieuse pour les organissses bourrés ou les atterrissages difficiles.
D’abord, exfiltrer Léo de l’infirmerie. Et négocier une pose, genre, digne. Mieux. Puis convaincre Anaya (non référencée sur le site officiel, donc peut-être le nom n’est-il pas ézak) de quitter sa cellule hospitalière pour venir faire la fofolle au parc proximal – si, ça fait classe, proximal. Enfin, bref.Faire des bisous, des bondissements, et revenir…
– Ben quoi ? Je me suis bricolé un lit à baldaquin. C’est pas mimi tout plein ? – Mais t’es un chien, bonhomme. Un chien. – En es-tu bien sûr, gourgandin aux frêles oreilles statiques ?
J’avais un beau manteau noir. Enfin, un manteau noir. Puis j’ai rencontré un bull-terrier. Et voilà.
… mais faut dire aussi que j’allais jouer de l’orgue à des obsèques.
Certes, je prépare le lancement d’une collection pour la jeunesse. Ce nonobstant, non, je n’entends que pouic à ce verbiage, quoi qu’il traite d’un sujet que j’esssplore depuis tant d’années. Comme quoi, rien.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !