Double ration
Double avis aux amateurs ! Cette après-midi, de 15 h à 17 h environ, je serai en signatures à Mennecy pour le Salon du Livre d’Île-de-France. Et à 20 h 30, rdv à Paris pour le concert orgue et trompette annoncé ici !
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Double avis aux amateurs ! Cette après-midi, de 15 h à 17 h environ, je serai en signatures à Mennecy pour le Salon du Livre d’Île-de-France. Et à 20 h 30, rdv à Paris pour le concert orgue et trompette annoncé ici !
Ce samedi. 20 h 30. Église Saint-André de l’Europe. 75008. Place de Clichy. 24 bis, rue de Saint-Pétersbourg. Orgue et trompette. Toutes précisions sur la bande-annonce. Au plaisir de vous y croiser !
Henri Laborit : « Imaginez qu’au lieu de parler, deux candidats politiques montrent leur sexe et disent : “Prenez le mien, c’est le plus beau.” » Vous avez deux heures.
« La Fleming » donnait (façon de parler) un récital à Paris le 2 décembre, et j’y étais. Pas seul : malgré un prix à la hauteur de la célébrité de la cantatrice, donc quand même assez éloigné des prix madonnologiques, ouf, la salle Pleyel était quasi pleine (env. 2400 spectateurs) pour ce récital de 2 h,…
À quoi tient le bonheur ? Si je n’avais point lu Le Figaro et vous du 23 novembre 2012, p. 28, j’aurais pas eu l’idée d’aller « golfer en Afrique du Sud : profitez du printemps austral pour jouer sur les plus beaux parcours de la région du Cap. » Trop hâte.
En corrigeant Grodico, prochain projet à par. en janvier 2013 inch’Allah, se semi-suicider pour un oubli d’itals. Constater avec désespérance que les insécables n’ont pas été mises. Suggérer à en trouer la page de forcer un passage à la ligne. Vérifier, blanc de frousse, que la graphie est correcte. Unifier les références et oublier l’unif…
Aujourd’hui, choquons les âmes pures et emmerdons les connards.
Cette idée débile n’est pas de moi, mais d’Éric Chevillard qui, dans La Nébuleuse du crabe, écrit : « En refermant derrière lui la porte de l’agence, il leva les yeux vers la girouette plantée au sommet du clocher. Je rêve, dit-il, ou ce coq a pondu une église ? »
A y est, novembre est fini. C’est moitié bien, moitié un mois de moins à vivre. Bref, c’est presque bien.
Parfois, les blogueurs littéraires de la Ville de Paris ont du goût, surtout en haut à gauche. Gloire à eux, et inch’Allah.
Lucidité de la justice. « “Plusieurs personnes équipées d’armes longues et cagoulées ont bloqué Victor Ribeiro et ont fait feu à plusieurs reprises. Il est décédé immédiatement”, a déclaré le procureur de la République, Dominique Alzéari, ajoutant : “C’est manifestement un assassinat.” » (Métro, 21 novembre 2012, p. 8)
La métaphore est une comparaison dont l’outil de comparaison est implicité. Ou alors, c’est une chanson. C’est vous qui choise.
« Mon Dieu, préservez-moi des manuscrits et des auteurs. Ceux qui veulent publier. Ceux qui veulent encore publier. Ceux qui ont déjà leur trilogie de huit tomes toute prête. En plus, si vous êtes vraiment fort, trouvez-moi un travail épanouissant, un canapé Chesterfield et des tonnes de lecteurs. Soyez cool. Pardon, I meant amen. »
Premier extrait du concert du Connétable. Le prochain concert de chansons, c’est le 20/12, pour le best of 2012, histoire d’exposer mon pedigree.
Aujourd’hui, j’ai rendez-vous au Château de Mérignac. Bon, à l’IUFM, d’accord. Objet : 4 h de cours sur « la traduction pour la jeunesse, état des lieux et pratique » aux étudiants du master 2 professionnel d’édition scolaire, parascolaire et de jeunesse, rien que ça. Las, nul ne m’a proposé de m’y téléporter en jet privé. L’université…
Peut-on écouter de la musique savante d’aujourd’hui sans être un musicologue averti, et en espérant ne pas être qu’un gros con de snob qui pue du cul ? Chaque concert de ce genre, pour le semi-ignare, incite à réactualiser la question de la légitimité de son écoute, question qui n’est donc pas réservée aux caricaturaux…
Ce soir, dernier concert de chansons pour novembre. L’occasion de se retrouver aujourd’hui, à 20 h pétantes, au Connétable (55, rue des Archives / 75003 / M° : Rambuteau / Entrée libre). Partager ces soixante-dix minutes de chansons avec vous serait un pouce levé.
La ruse du cheval de Troie étant éventée, si on passait au canard de Troyes ?
« Libération – Vous semblez plutôt optimiste sur l’état du monde. Salman Rushdie – Je ne suis pas sûr, ça dépend de l’heure de la journée. » (Libération, 16 novembre 2012, p. 5)
Aujourd’hui, je dédicace L’Homme qui n’avait pas de chat (édité sous une très belle forme parallélépipédique quasi veloutée chez Lunatique) au Salon des éditeurs indépendants (48, rue Vieille-du-Temple / 75004 / M° : Hôtel de Ville). RDV entre 14 et 17 heures. Entrée « libre et gratuite ». Rens. ici. Vous y entrapercevoir serait un moment pouce…
Quand on ne peut pas sauver le monde, peut-on au moins sauver du monde ? C’est la question qu’affronte le héros de Lunerr, le premier roman de Frédéric Faragorn publié à l’école des loisirs (192 p., 14,2 €, soit environ sept centimes la page), sous une originale couverture de couleur dorée. L’histoire Le roman (un…
Sans me vanter environ, j’ai été invité à la soirée de lancement de l’exposition de Roberto Di Costanzo, prof de dessin italien et visiblement très soucieux de concourir pour le titre de Mr Sosie de Freddie Mercury. M’en fous, je suis pas sensible à l’esthétique queer, mais j’admets volontiers un faible pour une partie de Queen….
Chanter de la confiture aux cochons, ça suppose qu’il y ait des cochons. Faute de queues en tire-bouchon, on peut toujours tester de nouvelles recettes de confiture. C’est ce que j’ai fait lors de mon ultime et dernier concert à l’Harmonie Café, lors de la seconde mi-temps ; et je me suis accordé une bonne…
Dimanche, je serai Parisien et indépendant, afin de dédicacer au Salon de 14 à 17 h. Rens. via Feillecebouc : ici. Si vous n’avez pas encore acquisitionné mon roman finement intitulé L’Homme qui n’avait pas de chat pour décorer vos muséothèques, c’est sans doute le moment. (Normalement, on ajoute « ou jamais », comme dans « c’est le moment ou jamais »,…
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !