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Soyons sport

20151017_220449Invité chez un d’mes p’tits frères à siroter le machchch France – Nouvelle-Zélande. Mais, parfois, la technologie donne une vision singulière, une néo-cosomogonie du rrru(g)by. Heureusement, ma réputation m’avait précédé, et j’avais droit à un verre. À une carafe, diront certains. Il paraît que c’est vexant. Dans ce cas, avec de bonnes vieilles vignes, je veux bien être vexé. Ô humilité !
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Talent multiple (ha, ha)

– Bertrand Ferrier, entre deux livres, deux concerts, deux cérémonies religieuses, qu’est-ce que vous faites ?
– J’essaye de survivre. Et je déstructure des intemporalités avec souplesse.

Cracovie, un regard français, tome 3/3 : “Nan mais en vraiment sérieusement ?”

C'était bien, Cracovie et son château. Mais y avait plein d'autres choses à découvrir. Exemples ci-d'sous ! (Photo : Nataly Adrian)

C’était bien, Cracovie et son château. Mais y avait plein d’autres choses à découvrir. Exemples ci-d’sous ! (Photo : Nataly Adrian)

Cracovie, un regard français, tome 2 : “Les petits à-côtés”

Coup de pompe

Pompe
– Y a un gars allongé à vingt mètres d’ici.

– Et ?
– Ben, comme je suis dans une caserne de pompiers et que vous-même êtes déguisé en pompier, je pensais que vous feriez le lien.
– Nan, faut appeler le 18.
– Allô le 18, y a un gars allongé en travers du trottoir, à moitié inconscient, devant mon immeuble.
– C’est un SDF ?
A priori non, mais qu’est-ce qu’on s’en fout ?
– Vous n’êtes pas avec lui ?
– Non, j’avais pas de portable sur moi.
– Ah, pourquoi ?
– Mais re-qu’est-ce qu’on s’en fout, à la fin ! Y a un gars allongé sur le trottoir, vous venez si ça vous chante, et vous venez pas si…
– Bon, ne quittez pas, je vous passe l’état-major.
(…)
– Bon, retournez auprès du blessé, on va vous envoyer les gars de la caserne d’à côté.
(…)
– Bonsoir, c’est vous qui avez appelé le 18 ? Pourquoi vous êtes pas venus nous voir directement ?

Cracovie, un regard français, tome 1 : “Nan mais sérieusement”

Tenir bon le bar

KRAKOWMa copse l’auteur Nataly Adrian m’annonce qu’elle vient de découvrir un bar avec cette vue. Du coup, c’est décidé, je vais à Cracovie dès aujourd’hui. Non mais ! (Je dois être trop émotif : moi, quand on me prend par les sentiments…)