Sauvons les cordes
Avec le Nouveau grand confinement, voici le retour des chansons moulées à la louche pour ne pas laisser s’évaporer notre envie de partager sons et sourires. Première étape aujourd’hui !
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Avec le Nouveau grand confinement, voici le retour des chansons moulées à la louche pour ne pas laisser s’évaporer notre envie de partager sons et sourires. Première étape aujourd’hui !
Ils auront fait leur possible mais, ce jeudi soir, nous gagnerons au sprint. À 19 h, je donnerai le dernier concert d’avant le Deuxième Grand Confinement. Le cœur lourd, car il devait y en avoir deux, le concert est amputé (y compris de l’after) pour permettre aux spectateurs de rentrer avant le pot-au-feu, des projets…
Avec François Marzynski, coach artistique d’un de ses états, on a travaillé, soi-disant que le concert non pas « hommage à Michel Bühler » (pas le genre) mais « avec le répertoire de » n’était pas parfait. Genre. Donc j’ai plaidé, avec un « l » évidemment… … et le chanteur – administrateur – metteur en scène a fini par se…
Après cinquante ans de chanson, Michel Bühler a cessé de chanter… mais ses chansons – drôles, puissantes, touchantes, fortes – courent encore dans les rues ! Pour preuve : dans ce spectacle piano-voix, soutenu par « Bübü » en personne (l’artiste annonce sa présence pour le 29 octobre), je ferai résonner ses hymnes à l’amour et aux…
Les répétitions des concerts « Bertrand Ferrier chante Michel Bühler » se sont concentrées au Phare de Tourcoing dans la petite salle de concerts qui sert aussi de studio pour des résidences ou des enregistrements – comme l’incroyable « Tubular Bells » par Jean-Marc Boël. Conditions idéales pour recueillir les conseils avisés de François Marzynski (hors champ), fin connaisseur…
On aura vécu un premier report, puis un second, dont on annoncera fort bientôt les détails. On aura vécu et – si tout va bien – survécu à la haine de la culture manifestée par Dictateur inavoué dit le Sossotteur honni, l’impossibilité de rentabiliser des productions et, l’on aura donc survécu itou à la raillerie…
Pour célébrer la rentrée, l’hypermarché qu’abrite ce site propose des promotions sidérantes sur tous les produits, alors qu’ils étaient déjà super mais pas chers – allez comprendre. Jusqu’au 14 septembre exclusivement, vous pouvez acquisitionner à des prix ridiculement bas d’authentiques vistemboires qui ne dépareront pas dans votre coquet intérieur. Vivez une expérience unique, repimpez…
Et voilà. La folie Claudio Zaretti reprend. Cette fois, en trio, il est convoqué au coin. Une version inattendue et toute en suspension. Puisse-t-elle vous plaire !
Un jour (un peu plus, en fait), jadis, je suis allé en Tunisie. Pour le travail, bien sûr, pensez. J’en ai rapporté des lumières, des rigolades, des incompréhensions, de beaux et baroques souvenirs, des regrets d’ignorance, des amitiés éphémères, des rencontres ineffaçables… et une chanson que j’ai promenée, tantôt, à Angers, grâce à Jann Halexander….
Pour l’instant, nous n’allons plus aux bois, les guichets sont fermés. Peut-être un jour retournera-t-on affronter des guichets ouverts, et tant mieux si le loup y est. En attendant, acheter le disque dont est extraite cette chanson reste d’une simplicité postale et se règle ici.
Comme Georges Perec, je me souviens, grâce à la quinte augmentée dont s’est gaussé Jean-Pierre Bouquet, du soir de la création de cette chanson où un de mes chanteurs préférés, Jean Dubois, qui m’avait déjà accusé d’user de trop d’élisions, m’a dit, malgré la dernière syllabe de son patronyme : « Tu crois pas que tu…
Pas question de le nier : je fais des chansons à l’ancienne, moulées à la louche donc fabriquées par des vrais gens pour des vrais gens, avec du texte qui déborde parfois, des petites gouttes de musique restées flic-floquer sur la table, des paroles qui s’adressent à ceux qui ne logent pas leur cerveau que…
Les vrais le savent. Ce tout tantôt, j’ai sorti, pof, un album de 160′ avec 44 chansons (ou presque), de la musique et du texte, du piano et de la trompette, du sax et des chœurs, des paroles et des photographies, etc. Aujourd’hui, premiers extraits disponibles sur YT du premier bloc de onze chansons amoureuses…
L’art n’est pas si difficile, mais le petit mot qui fait zizir, si. C’est donc joie de recevoir de bonnes vibrations pour ce double disque toujours disponible ici. (Cela dit, c’est pas 2,2 ou environ : c’est 4,4 ou presque, non mais.)
Je suis à la photo. Et voici le programme : je serai au piano – hé, c’est mon site, tout de même ; Jann Halexander chantera ; d’autres danseront – non, pas moi, je sais pas pourquoi la production me demande d’ajouter cette précision ; enfin, batifolera une invitée avec des pommettes et, parfois, des…
À l’approche de Noël, il est temps de parler de l’amour. Le vrai. Le grand. (Faut bien essayer de vendre le disque disponible ici, hein.)
Par respect du vivre ensemble doux, je propose une solution finale.
Moi aussi, je sais écrire des notices, manuels techniques et modes d’emploi, comme Laurent Gautier – un mec que, 21 ans après, comme Olivier Gadet, j’aurais bien aimé écrire son fredon à sa place. Non mais.
C’est une étoile noire dans la galaxie des chanteurs qui blindent les petites salles, se risquent dans des grandes avec succès et fomentent des projets innovants. Ainsi, dans la même année, le nommé Jann Halexander peut claquer un spectacle singulier autour de Pauline Julien, monologuer sur scène en tant que vampire olé-olé, manigancer un tour…
Lors du concert du 12 décembre à la Comédie Dalayrac, une trilogie liquide et une tétralogie macabre se sont croisées. Voici leur enfant. Le disque, lui, reste paisiblement à votre disposition ici contre quelques sesterces .
On va pas s’mentir, mâme Chabot : parmi mes chanteurs préférés et les fredonneurs que je me dis « eh merde, j’aimerais être aussi bon que lui, fait chier », il est dans le top moumoute. Du coup, l’air de rien, je lui suggère sporadiquement de venir pousser mes billevesées bien que nous ayons eu tantôt la…
Aujourd’hui, on arrête les chansons drôles, mais on rappelle que le double disque est disponible dans tous les paris de France et du monde – juste en cliquant ici.
On va pas se mentir. Aussi loin que concerné je suis, depuis le 1er avril 2014, chacun devrait être premier ministre de son cul, pis ça s’rait pas pire, mein Herr.
Le 12 décembre 2019, j’ai inventé la chanson-dentifrice. Nul ne pourra plus dire que jamais je ne fis rien. Na.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !