Paris, Batignolles, avril 2020
Où et avec qui : avant de se mettre sur le do, tout est la.
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Où et avec qui : avant de se mettre sur le do, tout est la.
… et je crois que le message express est clair, voire vice et versa.
Jadis, j’ai bossé pendant des années sur le rapport entre médecine de médecin et “médecines alternatives”, et on a frôlé le succès. Puis le livre a été jugé illégal, puis trop intello, puis méchant, puis sectaire, puis antisectaire, donc rien ne s’est fait et, on va pas se mentir, mâme Chabot, j’en éprouve un méchant…
Au début, cet instantané de la vie dominicale d’un harmoniumiste, je l’ai pensé parce que je trouvais ça hyperévocateur. Ou hypermimi. Voire hypermimystérieux. Voilà, c’est ça : méga-iconique. Puis je me suis souvenu que, en sus de mon non-talent photographique, je disposais in situ d’un photophone un tantinet perfectible. Donc j’ai pensé que j’m’en foutais….
Time… … after time, everything just fly away. Let’s remain. At least, let’s try.
À peine passée l’Épiphanie, voilà qu’il faut te rendre aux mages. Si nous sommes réunis aujourd’hui, et nous le sommes, c’est pour te souhaiter bonne route jusqu’à la poubelle puis vers ton crémateur. Tes flammes brûleront à jamais en nous, tant tu nous hépatites. Nous n’oublierons pas de sitôt la bonne humeur que tu apportais…
Soit, on ne devrait permettre que les lettres d’amour. Pourtant, fut un temps où des gens envoyaient de l’anthrax et/ ou de la farine par la malleposte, au point que les médias hypersérieux, genre Le Monde, c’est dire, croyaient les fake news affirmant qu’Anthrax s’était renommé Basket full of puppies. Aujourd’hui, grâce à Internet, quelques…
Parfois, chez moi, des gens font des trucs bizarres. Encore plus que de la musique, ce qui n’est pas peu dire. Mozart ou beaux-arts, même combat : vivement 2020, que je comprenne mieux, sans doute, ce qui m’environne. Pis, ce serait de la gourmandise.
… et que tu sens bien que, du coup, jamais tu ne finiras au Panthéon, snif.
Parfois, on m’envoie des fleurs, voire une. Moralité : écartez-vous la populace, regardez donc qui c’est qui passe – c’est Joe-la-classe.
Hier soir, croyant entrer dans mon lit, j’entre dans un congélateur. Ce matin, croyant sortir dans la rue, je sors dans un congélateur. J’en déduis que mon pays, ce n’est pas un pays, c’est un congélateur.
Avant le concert au Val-de-Grâce mais après la manutention musicale, voici le temps de la ploum-ploum attitude lors des répétitions entre instrumentistes. Enfin, entre instrumentistes et pas que, quand même.
Quand je disais : “On pensera à repeindre la cuisine”, c’était vaisselle exclue, bien sûr.
Tu connais ce moment, oh, tu connais ce moment où tu t’apprêtes à te goberger du gâteau offert par la petite voisine. Puis tu te dis : je vais prendre photo pour remercier. Et là, inopinément, Concurrence gustative surgit.
Parfois, je rentre dans mon champ de concentration. Ça surprend tellement le chantre qu’il en prend une photo. Limite, c’est vexant, mais, venant d’un chantre…
Toujours joyeux de croiser des p’tites boules de poils quand tu as 1 h 40 de trajet pour aller au boulot. Mais pas toujours joyeux quand eux n’en ont rien – sa mère rien – à carrer de ta fiole. Disons que ça distribue un peu d’honnêteté dans un monde volontiers faux-cul. Voilà, disons ça.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !