La face cachée du Ring

Pour compléter nos p’tites critiques glissées çà et là sur la première partie du Ring vu par Gergiev et ses loulous, quelques instantanés complémentaires pris dans la tourmente. Comme ce rappel, en chemin, que la vraie vie est aussi ailleurs… … ou cette installation très symbolique représentant un type qui a obtenu un job consistant…

Partout, pour tous

Parfois, on regrette que chanter de la musique contemporaine n’implique pas d’être transporté  en limousine vers des contrées aux paysages enchanteurs. Mais c’est joyeux qu’un département croie encore que la musique de qualité, à défaut de sauver le monde, réunit les curieux et propose un partage un brin plus stimulant qu’une émission de la télé…

Un lundi dans une espèce d’espace

Parfois, pour la journée, je pars en vacances, ni de vie ni d’envie, dans un autre monde, une autre galaxie. Invité par un propriétaire de chevaux (et sa compagne propriétaire de cheveux), je découvre le monde des courses hippiques. Comme y a plein de nanimaux et des gens sympa, je kiffe ma race, comme on…

Finir de finir

Ce soulagement du “yapuka”.  Puka synthétiser 2 h 30 de bande, 1500 pages de bibliographie, prosélyte ou pas, me permettant de mieux comprendre les propos recueillis, des heures de reportage ou vidéos de concerts et masterclass youtubiques à visionner, des dizaines de photographies à classer-sélectionner-retoucher et un DVD offert par l’interviouvé à regarder. Tout en…

En rentrant d’un gros entretien…

… avec un pianiss, faut être précis pour ne pas exciter toutes les voitures qui me lisent, j’ai déçu des potes pourtant très sympa. Pas de carotte, pas de quignon dans mon sac. Juste un pareil photo. L’arnaque désolée.

Un vendredi loin

L’autre jour, j’estois convié sur les terres de l’Aga Khan. Comme il faisoit un petit vent sec et frisquet, je décidoi de seuhuivre mon hôteuhesse afin d’en boire un autre, de sec et frisquet, tout en sirotant le paysage. Mais n’estois-je point venu pour goûter aux charmes des tagada-tagada ? Il estoit temps de déraper…

C’est une histoire de regards (souvenirs, 3/3)

Sous un regard attentif, consciencieusement consigné au chaud, jadis, la neige s’installa. Elle découvrit alors le Roi de la Neige, ni libéré, ni délivré mais hyper conscious de son rôle. Hélas pour sa crédibilité, par contamination de son maître, il adopta le regard Snoopy. Depuis, il plut. La vie, quoi.

Cat in the box

Allez, pour faire un bisou aux “bonnes âmes” qui dénoncent certains posts de ce site à tel ou tel curé en espérant récupérer mon poste de rganiss, une visite pour rien : voici juste une jolie photo de pikifa prise par Josée Novicz lors d’un repas commun chez un hautboïste jouant des thèmes tibétains au…

C’est Noël tout le jour…

… quand après un concert qu’un gougnafier a saboté autant qu’il a pu (mais pas autant qu’il l’espérait, toc), après trois messes où l’orgue était réduit à un ploum-ploumeur interdit de soli, une supervision désagréable par un frustré aux manières aussi fausses que doucereuses, l’intervention d’animateurs pas tous au top de la compétence ou de…

C’est l’hiver qui frappa notre porteuh (3/3)

L’hiver est aussi un arbre qu’on voit pas bien au travers. En revanche, l’un des meilleurs livres de Bertrand Ferrier est hyper facile à lire, hyper pas cher, et c’est pas des insultes, na, plutôt une incitation à commander cet ouvrage merveilleux disponible en nombre limité avant disparition de la surface de la Terre pour…

C’est l’hiver qui frappa notre porteuh (2/3)

L’hiver est un arbre blanc qui fait froid, et pas que dans le dos. Il est temps de se blottir sous un plaid qui plaît même aux plaies, en lisant de pléférence un excellent livre de Bertrand Ferrier, enfin disponible pour un prix presque aussi hilarant qu’une critique musicale sur France Musique. Allez, on y…

C’est l’hiver qui frappa notre porteuh (1/3)

Il est temps d’allumer un bon feu dans la cheminée de son cœur – snif, c’est tellement mouvant cette écriture, stylistiquement parlant, on croirait entendre un Québécois favorable à la crémation, c’est dire – et de s’y blottir en lisant l’excellent livre, au moins, de Bertrand Ferrier enfin disponible pour un prix suscitant la risée…

Bisou, Freud

Cette nuit, fus réveillé par ma propre rigolade : mon inconscient, devant bien s’emmerder pendant mes cauchemars (il est vrai que je me retrouvais à Albi, en escale autobussée, après que mon car est reparti avec toutes mes affaires, le pitch de mârde, quoi), me remémorait cet épisode des aventures d’Eusèbe dans le premier tome…

#sansmoi

L’on m’explique que, pour accueillir ses visiteurs, le Centre Beaubourg propose un hymne (voire une hymne, à ce niveau, on sait plus trop) à la sodomie. Choqué ? Voyons, ça fait un p’tit moment que je suis immigré à Paris, je sais que la proposition sodomite, c’est comme les clodos, ça doit (dans le cul)…

La face cachée, ou presque, de l’Opéra

Révélons quelques secrets d’une représentation à l’Opéra national de Paris. Voici, par exemple, la verrière et l’armature métallique qui surplombe l’édifice ouvert au public, telles qu’elles peuvent être observées avant le premier acte. Voici la même verrière et la même armature quand le spectateur, au premier entracte, plisse les yeux pour réfléchir à la non-mise…