Le plaisir Grieg
Sampler un tube en débitant une lettre d’amour – well, sort of : what else, in fine, comme on dit en français ?
Votre panier est vide.
Sampler un tube en débitant une lettre d’amour – well, sort of : what else, in fine, comme on dit en français ?
Après un premier épisode sur le pastel comme jeu de dupes, un deuxième épisode sur le pastel comme art du mouvement, et un troisième épisode sur le pastel comme médium de la suggestivité, il est temps de présenter le pastel comme une terre de contrastes. Pour cela, une série de portraits rassemblés dans l’exposition…
Tant qu’à être dans la merde collectivement, en ce jour, célébrons la fesse nationale.
Les volutes du sax s’élèvent au-dessus d’un orgue obstiné qui vient fricoter avec la mélodie avant de reprendre sa place : bienvenue dans une relecture de « Are you going with me? » que n’avaient sans doute pas prévue Pat Metheny et Lyle Mays, ses compositeurs !
Bientôt quatre mois ! Il est temps que la demoiselle traverse la rue et trouve un emploi, si possible qui lui corresponde. Pour le moment, nous ne sommes pas satisfaits de ses propositions telles que détectrice de petits bouts de bois tombés par terre… … dégustatrice de brins d’herbe… ……
Depuis quelque cent cinquante ans, c’est l’un des répertoires les plus courus par les pianistes et leurs auditeurs. Les valses de Chopin s’offrent une nouvelle cure revitalisante sous les doigts et dans les mots d’Yves Henry à travers une double intégrale du corpus, que l’on peut acquérir par ex. ici, et un entretien-fleuve dont…
Au début du projet Soleil noir, il y avait une berceuse qui tue, et ça commençait comme ça. (Brief du concert et de l’air dans le descriptif de l’avis des hauts).
Tout ne mérite pas d’être fait sans modération. Par exemple, pour mourir ou se prendre au sérieux, la modération peut être indiquée. C’est ce que suggère ce nouvel extrait du tour de chant intitulé Le ciel est rouge (ou il devrait), donné au théâtre du Gouvernail le 1er juin 2023…
Après un premier épisode sur le pastel comme jeu de dupes et un deuxième épisode sur le pastel comme art du mouvement, observons le pastel comme médium de la suggestivité en cela que sa spécificité dans la représentation des sujets consiste pour partie à ne pas représenter ce qu’il représente. Eugène Boudin le suggère…
La meilleure biographie de Bill Evans a été écrite par Lyle Mays. En voici une version estivale, portée par le souffle, le son et l’inspiration de M. Pierre-Marie Bonafos en personne !
Certes, le monstre continue de prendre de l’ampleur, mais on est toujours très loin du concept de chienne. Le résultat mouvant est difficile à définir. Elle-même se décrit tantôt comme un tapis de jardin toujours en éveil… … comme une statue poilue… … ou comme un, je cite, « truc avec…
Dans un premier épisode, nous avons montré pourquoi le pastel était un jeu de dupes à plusieurs titres en concluant que l’élargissement de son champ d’exploration, fors le seul portrait, s’était accompagné d’une double réflexion des artistes sur la spécificité de ce médium dans l’art de représenter le réel. Loin de se contenter d’entrer…
C’est à une série de jeux de dupes qu’invitait le musée d’Orsay à travers l’exposition Pastels, de Millet à Redon. Le premier jeu de dupes est celui qui consiste à contourner l’acception courante d’exposition, laquelle désigne la réunion d’œuvres de provenances diverses autour d’une thématique, d’une période ou d’un artiste. La présente exposition, centrée…
Et si, de n’importe quel pays, de n’importe quelle couleur, la musique était, parfois, une tunisie qui vient de l’intérieur ? Au gré des variations de styles sur lesquels voguait le spectacle Le ciel est rouge (ou il devrait), la question s’était glissée dans une promenade au milieu des paysages que l’on peut s’inventer,…
Heureux de rejoindre l’ensemble StaccaToy pour sa prestation au festival GrandPianO d’Orléans, en remplacement de Sandrine Roche. Jouer, avec un contrebassiste de folie, un toy piano dans la fête des pianos à queue (mais pas que), ça me va bien. D’autant que je jouerai aussi un toy piano à queue, alors bon. C’est l’occasion…
En 1968, James Taylor publie un disque avec Paul McCartney à la basse et George Harrison aux chœurs. Pourtant, cet honnête chanteur folk prolongé par mère porteuse reste surtout célèbre pour avoir inspiré le sublime tube du troisième album du Pat Metheny Group, dont voici une sainte version iconoclaste s’il en est. …
Grandir, oui, c’est tirer la langue. C’est aussi souffrir d’une inconnue mélancolie. C’est se perdre dans la jungle du vivant. C’est en voir de toutes les couleurs, même noires et blanches. Bref, c’est être structurellement ffffffatigué. Non, vous êtes surpris ?
Une heure avec le piano de Tristan Pfaff et les valses de Frédéric Chopin, tel était le projet du récital donné le 12 juin 2023. Alternance oblige, après avoir rendu compte ici des deux premiers morceaux qui n’étaient pas des valses, puis là des valses qui ont suivi, nous voici au mitan du récital…
– Bertrand Ferrier, police criminelle de la justice des assises culturelles écosubventionnées, vous avez le droit de, eh bien, rien. Vous êtes docteur ès Lettres en Sorbonne, la vraie, en sus, titulaire du DESS d’édition (c’est dire si vous êtes vieux) de Paris-XIII, organiste titulaire dans le ô combien très chic huitième arrondissement… –…
Depuis quelque cent cinquante ans, c’est l’un des répertoires les plus courus par les pianistes et leurs auditeurs. Les valses de Chopin s’offrent une nouvelle cure revitalisante sous les doigts et dans les mots d’Yves Henry à travers une double intégrale du corpus, que l’on peut acquérir par ex. ici, et un entretien-fleuve dont…
C’est pas dur d’aller loin, c’est partir qu’est pas rin chantait Allain Leprest. N’empêche, je suis fier, euphémisme, d’avoir embarqué avec Pierre-Marie Bonafos pour une aventure commencée avec des concerts tout classiques, tout mignons, un peu réduits en regard de son espérance parce que je n’ai pas la dextérité redoutable d’Alexandra Bruet, son…
Madame la présidente de séance, chers collègues, chers spectateurs, Je vous remercie de m’accueillir dans ce prestigieux colloque sur « Vivre ou survivre, pourquoi, comment et qu’est-ce qu’il y a de neuf sur Amazon Prime ce soir ? ». Permettez-moi de commencer cette très brève allocution par une grande vérité qui aurait sans doute eu plus…
Comment transformer une idée stimulante, portée par une brochette d’artistes exceptionnels dans un cadre propice à l’écoute (bien que très mal sonorisé pour la partie amplifiée préliminaire : à cour, on n’entend à peu près goutte) en une déception pimentée d’agacement ? C’est de cette perplexité que nous allons tâcher de rendre compte en…
Ce samedi 24 juin, dans le cadre de la Nuit des églises, je ponctuerai par des improvisations le parcours fomenté et dit par Jean-Michel Dhermay à travers l’œuvre de Charles Péguy. L’occasion de contempler les « flammes anxieuses » qui traversent « l’épaisseur de nos nuits », et de, peut-être, n’en pas revenir. Collégiale Saint-Martin, Montmorency (Val-d’Oise) |…
Seconde représentation du récital « Pat Metheny » avec Jacques Bon aux machines. Sinon, doit y avoir du Jauni au bar du coin, hein. Pas forcément une autre ambiance mais, forcément, un autre style. Enfin, j’espère.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !