Mister Jo(ke), 16 mars 2017

Réinvité à partager quelques instants la scène du cabaret organisé par Orbor au Mister Jo Club, j’ai accepté d’y participer seul mais avec Élégance. Tout moi.

Trilogie improvisée, 3

Troisième improvisation captée par Vincent Hildebrandt, qui explore les charmes du plenum, feat. des anches pas toutes parfaitement justes ce soir-là… des anches, quoi !

Comme un lundi matin

Ce moment où tu dois te remettre aux travaux, et où ton cerveau te crie : “Ça va, un moment, je trouve pu l’interrupteur…”

Gling glang glong

… et ce dilemme d’organisateur, en fin de quête-après-un concert-à-entrée-libre : je donne ce reliquat, l’artiste me prend pour un pingre méprisant ; je donne pas, je l’arnaque de plusieurs centimes (moins vingt pour cent). Argh.

Mister Jo, première

C’était mois de mars, un jeudi 9 au soir. Orbor lançait son cabaret, titulé “Mister Joke », avec Lermite et succès. Stand-uppers, comédiens, improvisateurs et chansonneurs remplirent promptement la salle du sous-sol pour applaudir les autres et chercher quelques brava pour soi-même parce que charité bien ordonnée, blablabla. Implacable, j’y infiltrai des éléments-clefs de mon programme…

Une nuance de Gris

Ce moment où, en sortant de l’église après un enterrement, tu pourrais sentir comme une certaine incitation à la dépression. Alors, tu lèves les yeux au ciel. Not a good idea.

Trilogie improvisée, 2

On aime, on n’aime pas, mais on fait pas “bof”, disait ce grand critique qu’était Supernana from Skyrock. Merci, donc, Vincent, pour cette vidéo attentive et flatteuse. Et merci, donc aussi, aux curieux bienveillants qui viendraient taquiner de l’oreille, voire des oreilles, l’octavin, la doublette et la soubasse de 16. Précédente fête disponible ici. Prochain…

Pourquoi les concerts chez l’habitant, c’est chaud

– Alors, pourquoi c’est chaud, les concerts chez les gens ? – Parce que, parfois, chez les yenssses, y a des nanimo. – Et t’aimes pas ? – Ben, au contraire. C’est ça, la bouille. – Comprends pas. – Tu vois, le problème, c’est pas que c’est moche ou quoi. C’est surtout pas que y…

Trilogie improvisée, 1

Première des trois improvisations luxueusement captées par Vincent Hildebrandt. Ce coup-ci, on ne rigole pas à toutes les mesures, mais on peut apprécier fonds, anches et ondulants de cet orgue Delmotte restauré par la Manufacture Yves Fossaert. Prochain épisode, complètement différent, dans une semaine.

Une ligne de gling, une ligne de glang

Tantôt, l’occasion me fut glissée d’aller partager une scène dans un atelier d’artiste (Paris 18), avec Claudio Zaretti, Antoine Pagnon, Orbor, Lermite et Déborah Bilger. En gros, hein. L’occasion de propulser des bouffées de poésie à la barbe et au Nez de ton cul. L’occasion, surtout, d’appeler à plus de solidarité citoyenne afin de collaborer…

Les voici donc…

Tous ceux qui les ont ouïs nous demandent si on est sûr qu’ils viendront dans ce trou perdu qu’est Saint-André, à trois minutes de la place de Clichy et à dix minutes de la gare Saint-Lazare. En général, on répond que ces oufs ont répété plusieurs fois sur zone, qu’ils ont préparé un programme magnifique…

L’homme joue toujours de l’orgue

Les organistes Serge Schoonbroodt et Mark Steffens m’ont invité à conclure leur grande émission sur l’orgue en dialoguant joyeusement autour du livre et des organissses. Voilà l’travail, et le lien pour acheter ou racheter le livre, parce qu’il faut bien vivre parfois (j’en entrevois la nécessité). Attention : les deux hurluberlus ont choisi de conclure…

Exceptionnel Vincent Rigot, Saint-André de l’Europe, 28 février 2017

Le type est titulaire de Saint-Louis-en-l’Île. Il vient jouer des pièces qu’il connaît quasi par cœur et a donné des dizaines de fois. Le tout pour un cachet qu’il aurait dû trouver insultant s’il avait un brin de grain dans la tête. Pourtant, il vient répéter de longues heures à plusieurs reprises sur l’orgue de…

Il arrive…

Mr Vincent Rigot himself s’apprête à secouer Saint-André de l’Europe avec sa fougue, sa virtuosité et sa malice. Gageons que son programme, déjà ébouriffant, ouvrira sur un bis à couper le souffle. Mais ça, les documents ci-dessous n’en disent rien. Faudra venir. En plus, on offre les crêpes et le cidre à la fin pour…

Le Soum-Soum 11, 24 février 2017

Tantôt, je chantai ici avec Claudio Zaretti, Barthélémy Saurel, Terrebrune et Jean-Paul, dit Lermite. Enfin, à quelques blocs d’ici, mais avec de bonnes intentions puisque, pour commencer, je proposai de Tuer mon voisin – et encore, j’ignorais qu’il rentrerait se tripoter le plus bruyamment possible à six heures du matin. Après un départ aussi positif…

Travaillez, prenez de la peine

Me voyant juste avant un convoi, un prêtre m’interpela : – Tiens, c’est toi qui joue, Bertrand ? Tu ne travailles pas, en semaine ? – Ben, et toi ? répondis-je. En tout cas, c’était pas fait méchamment.