Honni travail

Raccourcir, densifier, bestofiser, bref, sexyfier les affiches des premiers concerts du festival Komm Bach : travail du week-end.

Presque

Quand avoir un écran ne t’aide pas des masses, des masses, à suivre ce qui se passe loin de toi.

Oxymoron

Oxymoron = associer deux unités contradictoires. Parézampe ? Bach, le génie, et la merde, l’Emmanuel.

On the road again

“- Donc, pour toi, la vie de rganiss, c’est ça… – Faux, nul, zéro : ma vie de rganiss liturjik, c’est, structurellement, ça.”

Orgueil modeste

“- Mais tu sais qu’elle est floue, c’te photo ? – Pas davantage que la notion de flou, tu sais. – Seigneur, prends pitié de nous.”

Gravité légère

“Mais t’as rajouté un filtre noir et blanc pour montrer où t’allais jouer ? – Hum, pas eu besoin. Pourquoi, c’est grave ?”

Restons à poils

Dernier jour dans son fief de Saint-André de l’Europe, pour Vaïka : son patron est muté à quelques centaines de mètres de là, direction Sainte-Marie des Batignolles. Ce qui a l’air de stresser intensément le monstre.

Le rganiss est-il une famdeménaj comme une autre ?

A priori, ce n’était pas le sujet que je souhaitais aborder aujourd’hui, même si le livre est disponible ici. Et pourtant, ce le sera. Na. (Et non “sers le serrano”, hélas. Bref.) Tantôt, j’allai sévir comme remplaçant dans une paroisse sympathique, où quelque instance locale finit par médire d’un collègue musicien “toujours pressé de finir”,…

Oui positif

Après, on n’est pas obligé de croire le compositeur et tout autant l’organiste Serge Ollive. Ni Jean-Alain Ripoche, le zozo qui se bat pour restaurer l’orgue d’Étel. Ni François Espinasse. C’est pas comme si c’était l’organiste de Saint-Séverin. Nan, en fait, on n’est pas obligé de lire L’Homme qui jouait de l’orgue. Mais ce serait…

… on verra plus tard

Quand tu es rganiss ; qu’entre deux cérémonies, tu ne peux rentrer chez toi ; et que tu traînes, sous la pluie lourde et poisseuse, dans des endroits mal famés. Et pour le reste, on verra plus tard.

Les dedans de l’amer

… et toujours cette vague menace sur l’air du : “Fais gaffe, mec, j’écoute c’que tu joues, si c’est nul, j’peux toujours envoyer un ou deux tuyaux te régler ton compte.”

Youpi

– Ça vous dérangerait si on monte à la tribuune pour chanter le “O bone Jesu” ? – Bon, parce que t’insistes…

Comme si…

… oui, comme si un café, fût-il gourmand, suffisait à dissiper fatigue et paresse. Ha, ha.

Je ne fais pas le trotar

– Ben… il est 15 h 30 et y a toujours personne pour le mariage de 15 h ? – Si, le curé est là, la sacristine est là, les photographes et le caméraman sont là, tu peux considérer que c’est quelqu’un… – Mais ni les invités, ni les mariés ? – Non. – Me…

Flash pour la Vie

En été, certains prêtres africains se lâchent sur le chapeau. Si, couvre-chef vert pomme fluo avec paillettes, c’est plutôt lâché. Même mon photophone peine à rendre raison du délire, c’est dit. Non, il peine à rendre raison du délit, c’est dire. (Mais bon, l’autre version marche aussi, bref.)