Ne viens pas, poupoule
Quand, en attendant l’heure de l’enterrement, tu vas saluer un gros chien méchant près de l’église mais que tu t’aperçois que ses maîtres l’ont remplacé par un animal encore plus vénère et dangereux.
Votre panier est vide.
Quand, en attendant l’heure de l’enterrement, tu vas saluer un gros chien méchant près de l’église mais que tu t’aperçois que ses maîtres l’ont remplacé par un animal encore plus vénère et dangereux.
… et, de fait, le cercueil sortit de l’église en dansant comme une reine.
Quand tu vas jouer une messe-après-20-h-30 et qu’un murmure familier accompagne les doigts recroquevillés des arbres…
Ben parce que, parfois, on t’offre des chocolats chics en tant que rganiss ouvrant “ta” tribune à certains de ceux qui la souhaitent visiter. Et toc.
… mais ça, c’était avant. Après, il y eut le concert, avec son supaherbeuh peurogramme dispeuhonible céans, et propulsé le 21 juin avec Jacques Bon aux basses et au hautbois… … la preuve 1 ici… Prologue (41’’) « Ma bible » (Bernard Joyet), extrait 1 (1’35) « La religion » (Jacques Debronckart, 4’25) « Le…
Quand tu vas répéter mais que tu regrettes que le piano n’ait pas été placé dans le jardin.
Tableau pour rganiss titulé “Fouidom”… ou “Legalize Fouidom”, à la rigueur.
Ce n’est pas mon frigo, hélas, mais j’apprécie le beau geste qui consiste à laisser des tire-bouchons pour les buveurs d’eau qui voudraient ouvrir leurs bouteilles.
Le festival Komm, Bach! revient dès le 23 septembre… Lancé pour fêter le come-back de l’orgue, tout en invoquant le Maître grâce à une pièce de Johann Sebastian dans tous les concerts (sauf un, c’est vrai), le come-back fait son retour. Le festival s’appellera donc Komm, Bach!², soit le come-back du come-back, donc Komm, Bach!…
19 h, au 60, rue de Rome : concert “chansons et religion” avec que des belles chansons de Debronckart, Barrier, Polo, Tekielski, Leprest, Sabina Russell… plus deux chansons de moi. Durée : 1 h 05 environ. Personnel : moi-même-je, piano-voix et chorégraphie possible ; Jacques Bon, basses et hautbois. Attention, nombre de places très limité…
Non, ni Tam-tam square, ni simple Tam-tam, djembés. Et orgue. Et soprano. Préparation du concert du 21 juin, 21 h. Boum boum.
Premier filage du concert du 21 juin, 19 h. Le bassiste-hautboïste crâne avec son matériel. Du coup, j’ai réclamé deux micros. Faut pas se laisser marcher sur les fesses, mârde.
Deux concerts pour la Fête de la musique… et voici déjà ou enfin le programme du récital de chansons prévu ce 21 juin à 19 h au 60, rue de Rome (Paris 8). Pourquoi des chansons dans un festival d’orgue ? Pour marquer la Fête de la musique ? Oui, mais pas que. Réponse plus…
Parfois, L’Homme qui jouait de l’orgue seurfe sur les ondes. Pas forcément les plus notables, pas forcément les mieux préparées, mais prouvant que, même après sa sortie, le livre n’est pas mort, na.
Si vous croyez que l’orgue, c’est le truc qui joue en gros scluzivman la marche nuptiale avant le mp3 d’Édith Piaf, ou si vous postulez, selon le théorème de Radio-Classique, que la belle musique s’arrête en 1750 quand périt Johann Sebastian Bach, on a préparé un concert pour vous. Mais bon, si vous croyez pas…
Qu’est-ce qu’un bon concert de chansons ? Est-ce un concert parfait où tubes et découvertes séduisantes s’enchaînent, agrémentées par des trouvailles parlées qui rapprochent l’artiste du public dans une émotion où l’humour le dispute à la proximité ? ou est-ce un concert sincère, « en processus de perfectionnement », où le bricolage et les pistes d’amélioration sont assumées non…
Il pourrait jouer plus vite, et il ne le fait pas. Il fait juste de la musique. Il s’appelle Jean-Luc Thellin. Vous pouvez rater l’épisode, d’autant qu’il sera enregistré. Mais s’en vouloir toute sa vie ou venir à Saint-André pour applaudir un grantartiss, est-ce vraiment un choix ? Et on vous a épargné l’accord de…
Je veux vivre avec des gros chiens épidétadfa. Et, pourquoi pas, si ça s’présente, j’accepte d’être moi-même, en tant que tel, un pikifa ou dégrofien. (Comme me demandait tantôt un prêtre étudiant, autrement dit un Africain doté d’un col romain : “Ce nonobstant, où en êtes-vous de votre projet de professorat universitaire ? / –…
Quand tu fais rire le tripode parce que, en rentrant du boulot à 21 h 30, déjà y a plus de train pour Paris.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !