Le meilleur du retour de récital…
… c’est, sans doute, la dégustation at home, comme chantait Brassens, des produits locaux.
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… c’est, sans doute, la dégustation at home, comme chantait Brassens, des produits locaux.
Lors du lancement de la cinquième saison du festival Komm, Bach!, Hervé Désarbre a débouché deux bouteilles offertes par Hans-Uwe Hielscher. Voici la première.
À peine passée l’Épiphanie, voilà qu’il faut te rendre aux mages. Si nous sommes réunis aujourd’hui, et nous le sommes, c’est pour te souhaiter bonne route jusqu’à la poubelle puis vers ton crémateur. Tes flammes brûleront à jamais en nous, tant tu nous hépatites. Nous n’oublierons pas de sitôt la bonne humeur que tu apportais…
On a eu l’occasion de dire du bien, ça nous arrive, de l’hurluberlu qu’est Gauthier Fourcade. Cette fois, c’est beaucoup plus sérieux. Quasiment archéologique, pour dire. A priori, il s’agit du premier spectacle écrit par Gauthier Fourcade. En réalité, pas tout à fait : il s’agirait du un-et-demier, ce qui en dit long sur le bonhomme….
Quand tu dégustes un vin capiteux mais que tes vieux réflexes de correcteur et de prof sont réveillés par l’étiquette, te faisant douter du domaine : la bouissiere, La Boissiere, de La Bouïssière pour l’étiquette frontale ? Argh.
Rencontre avec le vigneron Xavier Frissant, viticulteur avisé, promoteur des vins de sa région (Cahors inclus, c’est dire) et raconteur roué, aussi croustillant que capable de s’adapter à ses interlocuteurs. Ses rouges à base de côt (plus chic que le malbec, appellation hors sujet sur ses coteaux !) s’adressent davantage aux amateurs de vin fruité…
… par exemple, grâce à Thierry Welschinger et à ses produits méticuleusement choisis, présentés avec engagement et simplicité même à des ignares comme votre serviteur, cette fleur de Labet, stupéfiante.
Ma force est un bouchon parfois inadapté au monde. (Si, ça passe. Et puis j’ai pas d’autre pensée profonde, là.)
Heureusement, peut-être que, dès demain, nous raurons l’occasion de chougner encore et encore. Ouf.
Après une répétition pour le concert “Chansons et religion », réciter quelques verres thématiques – voire anathématiques – s’impose.
L’avantage de vieillir, c’est que c’est un prétexte très digne pour ouvrir de bonnes bouteilles. L’avantage de Bertrand Ferrier, c’est qu’il est de toute façon très fort pour inventer des prétextes de ce style.
Réunion de travail avec un frère pour son nouveau projet culturel. Ouf, il a payé sa consultation en liquide et en toute amistat.
– Bertrand Ferrier, rude journée que ce samedi… – Tout à fait. Dans le désordre : messe, répétition du concert du 25 novembre avec Vincent Genvrin à l’orgue et Samuel Campet comme co-assistant… et dégustation de différents vins pour accompagner différents foies gras chez Thierry Welschinger. – Nous n’avons pas d’autre question, Votre Honneur.
Avant un concert, je me recentre sur moi-même et me concentre comme un bon vin. Ou je vais déguster de bons vins, ça dépend.
Ce tantôt reprenaient les redoutables et conviviales dégustations à l’aveugle de Thierry Welschinger, feat. notamment un excellent blanc et un non moins savoureux rouge de Guillaume Gros from Luberon. C’est malin, stimulant et gouleyant, même pour les simples curieux, dont votre asserviteur.
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !