Enfin de retour (1/3)
Trois livres. Trois batailles. Trois propositions aux lecteurs. À commencer par Immemoria.
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Trois livres. Trois batailles. Trois propositions aux lecteurs. À commencer par Immemoria.
Les trois niveaux Louvre… pardon, les trois nouveaux livres de Label Libertad sont en vente dès ce 22 juin, tout comme Terre d’ombre, ma traduction d’une série de Meg Cabot qui reparaît au Livre de Poche. Avizolecteurs !
Parfois, L’Homme qui jouait de l’orgue seurfe sur les ondes. Pas forcément les plus notables, pas forcément les mieux préparées, mais prouvant que, même après sa sortie, le livre n’est pas mort, na.
Quand tu es accueilli à ta répétition par un café bien serré, puis une dégustation impromptue de rhum 44 (ambiance agrume macérée avec 44 grains de café a minima 44 jours) et de rhum bois bandé (très marqué par l’anis étoilé), tu sens que le feeling musical va être bon.
Plus d’essscuse pour ne pas commencer la traduction de l’essstraordinaire trilogie de Louis Sachar : les VO sont arrivées. De l’humour britannique écrit par un Américain : c’est à tomber d’admiration. Premier tome à paraître le 16 mars chez Label Libertad. Y a plus qu’à, mais, quand le loufoque rejoint le talent narratif, quel zizir…
Mercredi, je passais mon grand oral pour la deuxième livraison de Label Libertad devant les représentants de la Sofédis, chargés d’aller chanter les louanges des nouveaux livres à paraître mi-mars 2017. Ça s’est plutôt bien passé, ouf. On va pouvoir continuer à travailler, argh.
Mes doigts d’auteur. Mes petits doigts d’auteur. Mes gros doigts d’auteur (dans ton cul les pauvres). Bien. Et maintenant, revenons à des choses pleines de sériosité.
– Oui, bonjour, c’est l’imprimeur. Sur les pages 385-386, on a rien. C’est normal parce que le chapitre s’appelle “L’Homme troué”, ou il y a vraiment un problème ? – Oh, putain, dites-moi où la compositrice est en vacances, je vous jure que je vais lui trouter sa gueule de nulle. On n’aura qu’à dire…
En 2010, paraissait De Sarcelles à Compostelle. La mémorable histoire des deux fous qui voulaient voir Saint-Jacques (Les Portes du Soleil) – un récit de voyage de Mathieu Lours auquel j’avais prêté la patte. Ce récit trépidant (et en vente ici, faut pas déconner) était émaillé de portraits. Dont celui d’Odette, qui vient de décéder….
“Les coincements du deuxième ré se fréquentifient”, stipule l’organissse sur le cahier de doléances destiné au facteur. Sans doute du Bertrand Ferrier dans le texte, je suppute. Las ! Néologisez, il en restera souvent à peu près rien, mais bon.
Je vous parle d’un temps que les moins de vingt ans ne peuvent presque pas connaître. J’écrivais des articles universitaires. Le prochain paraîtra aux Presses Universitaires de Bordeaux et conclura le recueil sur les Fictions historiques pour la jeunesse en France et au Québec, dirigé par Brigitte Louichon et Sylvain Brehm. Et ça commence comme…
L’auteur que je traduis m’annonce : “Écoute, pour une fois, ce que je raconte va vraiment t’intéresser. / – Il s’agit d’une copulation de reptiles ? / – Oui.” Dont tact.
– Et surtout, Bertrand, tu n’oublies pas que, “conformémenent” aux articles 38 et 240 du Code de la Quenelle, ton site internet est fait pour valoriser ton image. – Nan mais carrément.
Travail sur un projet autour de l’art lyrique. Me voici dans “ma” loge. La confrérie des bricoleurs et as du BTP tient néanmoins à préciser que c’est bien une loge d’opéra, pas une loge maçonnique dans laquelle mon art de mettre du douze ne permettrait jamais d’être admis, même pour un projet.
Invité à Radio-Courtoisie par Vincent Beurtheret et Annette Ventana, pour y parler de L’Homme qui jouait de l’orgue. Par ma foi, qu’importent inepties et maladresses, on fait c’qu’on peut avec c’qu’on a, ma brave dame… Première partie (12′) : devenir organiste Deuxième partie (19′) : exercer comme organiste Troisième partie (21′) : survivre comme organiste
Autre projet de livre, qui s’annonce semi-croustillant. Suite d’une série d’entretiens, et lectures hyper techniques pour ne rien négliger (quitte à ne pas tout, tout piger). Au fait, si Pilipse veut m’envoyer une prime pour l’avoir ainsi promotionné, je suis totalement incorruptible mais j’accepte volontiers. Par respect, bien entendu.
Le projet de livre avec une fort enthousiaste vedette de la musique classique se met en place. Restent quelques zones d’ombre mais, pour le moment, ah, j’ai ri, comme on dit à Oran (par ex.), de me voir si belle, carrément, en ce miroir !
Dans le n°310 de Musique sacrée, l’organiste, mon ex-N+1 dit du bien de L’Homme qui jouait de l’orgue. Dont l’on peut toujours acquisitionner quelques exemplaires, par ex. ici, soit stipulé fortuitement.
Pierre-Michel Robert a lu L’Homme qui jouait de l’orgue. C’est foufou, mais il en dit très personnellement du bien, et c’est dans lavie.fr.
Aime bien dédicacer dans la librairie de Thierry Welschinger, moi…
Entre costume et jeans, chansons et coquecigrues, c’était bien, c’était chouette, au Magique, ce 18 septembre. On a graffité des exemplaires de L’Homme qui jouait de l’orgue devant Georges Brassens en partageant des facéties… … et, enveloppé dans l’écharpe de François Marzynski qui n’avait qu’à la récupérer avant, j’ai fait un quasi selfie avec Jann…
Du 16 février au 10 mars, découvrez le grand entretien que nous a accordé le pianiste et compositeur Nicolas Horvath,
à l’occasion de la parution de ses Préludes à la lumière noire.
Cinq épisodes plus un bonus nous plongent à bâtons rompus
dans la fabrique d’une musique électro-acoustique puissante et profuse,
malaxée et propulsée par un jeune pianiste virtuose.
L’aventure commence ici !