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Quand, avant de remettre à l’artiste, pour relecture, la retranscription d’un fort long entretien, tu reparcours le Call me Debbie de la soprano superstar Deborah Voigt (HarperCollins, 2015), et que tu as deux réactions :

  • “Peste, et moi qui croyais avoir été un brin intrusif dans mes questions !”
  • “Si, dédiant d’abord son bouquin à son papounet, Debbie a sûrement enlevé plein de révélations sur le sexe, la bibine et la drogue, j’aurais bien aimé lire la version non censurée du manuscrit de Natasha Stoynoff !”