Thérèse Malengreau joue “Música callada” de Federico Mompou (Soupir) – 2/2
Que l’on s’attarde sur les couleurs debussystes ou sur la concision évocatrice alla Erik Satie, une évidence demeure : l’oxymoron structurel qui réunit la sobriété de miniatures dépassant rarement les 3′ et la prolifération inspirée que cette forme a suscitée chez Federico Mompou. Car il serait fallacieux de se goberger de l’épure propre à…